nom ∞ Suarez-Jones. prénoms ∞ Bledwyn Yolinéo Finnéon. âge ∞ 24 ans. profession ∞ éleveur pokemon. ville natale ∞ Bourg Géon. région actuelle ∞ Johto. starter ∞ Togépi. badges ∞ deux. groupe ∞ les éleveurs. qualités ∞ honnête, intègre, extraverti, excentrique, sincère, responsable, prévenant, altruiste, souriant, réconfortant, téméraire, gentleman, malin, blagueur, imaginatif, spontané défauts ∞ têtu, dragueur, étourdi, sensible, maladroit, idéaliste, curieux, mystérieux sur son passé, solitaire autre chose ∞ écrire ici.

Togepi → Togepi est le starter de Bledwyn. Le jeune homme l'a choisi sans vraiment savoir quels étaient les pokemons qu'on présentait à un novice. En effet, le jeune homme l'a à vrai dire voler dans le laboratoire et s'est enfui par la suite. Avec le temps, Bledwyn tenta de comprendre comment une créature qui paraissait aussi inoffensive pouvait pourtant réaliser des attaques autant destructrices que celles qu'il produit. Il étudie également l'évolution par bonheur et Togepi est son premier cobbaye pour l'étude. De plus, il faut savoir que Bledwyn considère Togepi comme son propre enfant : il le tient dans ses bras, toujours hors de sa pokeball, préférant cela et pensant que la balade en pleine air le rendra davantage heureux. Il n'hésite jamais à le chouchouter, à le dorlotter comme un véritable bambin en couche. Et si Togepi pousse le moindre caprice, Bledwyn se plie en quatre pour satisfaire la créature.
Grodoudou → Entre Bledwyn et Grodoudou, il y a une forte relation fusionnelle qui les lie. Le jeune homme sait, depuis le premier jour, qu'il peut compter sur son pokemon divin. Dès son plus jeune âge, alors qu'il n'était qu'un Rondoudou, la créature ne s'empêchait de chanter pour que son dresseur puisse s'emparer ainsi d'un maximum d'informations sur les pokemons adversaires. Bien sûr, il fallut un certain temps pour que cette coopération fonctionne (le temps que Bledwyn se procure un casque anti-bruit à vrai dire). C'est alors que naquit une équipe à rendre jaloux quiconque qui les croisait.
Ortide → Ortide est un pokemon plus que nécessaire pur l'éleveur pokemon. En effet, Bledwyn le possède depuis un petit moment et l'utilise pour un domaine spécifique : il récolte la bave et les différents parfums qu'Ortide dégage pour en fabriquer des antidotes contre certaines maladies ou virus très puissants. Il a appris, grâce à un long apprentissage, comment les réaliser impeccablement. Grâce à ce pokemon, il pourrait guérir de quasiment tous les maux.
Papilusion → Ce pokemon, Bledwyn ne le maîtrise pas encore tout à fait. A vrai dire, il ne le possède que depuis très récemment car il l'a échangé contre un Coxyclaque. Acte réalisé à contre cœur, Bledwyn a en réalité fait un pari stupide, pensant qu'il en serait gagnant. A présent, il se retrouve avec un autre pokemon qui ne l'apprécie pas énormément. Papilusion agit généralement comme bon lui semble, il n'écoute que très peu ce que lui dit son dresseur. Pourtant Bledwyn redouble d'efforts et espère parvenir à créer une bonne harmonie avec sa nouvelle recrue.
Lainergie → Lainergie est un pokemon un peu particulier car Bledwyn se souvient parfaitement la première fois qu'il avait vu la créature. Au départ, il n'était qu'un pauvre Wattouat qu'un berger gardait parmi un troupeau alimentant une centrale électrique. Rapidement, le jeune homme vit à quel point l'autre homme ne pouvait s'empêcher de battre ses pokemons honteusement. Désireux de protéger les droits des monstres, l'éleveur se manifesta pour montrer de quel bois il se chauffait. Par la suite, l'homme décida de se séparer de ses pokemons, les distribuant à gauche et à droite afin qu'ils soient entre de bonnes mains. C'est ainsi que Wattouat arriva entre celles de Bledwyn qui s'occupa à merveilles du pokemon autrefois martyrisé. A présent, il est devenu un Lainergie puissant et robuste mais celui-ci devient tout apeuré dès qu'il entend un bruit puissant, lui rappelant parfois les coups de fouet d'autrefois.
Staross → Le seul pokemon aquatique de son équipe est un Staross. Bledwyn rêvait d'en avoir un depuis des lustres et il tient plus que tout à celui-ci – d'autant plus qu'il lui a été offert. Depuis qu'il est enfant, il trouve que surfer sur cette créature donne un certain rang de noblesse et de grâce à celui qui navigue sur le dos de ce pokemon. Dès lors, il n'hésite pas à sortir son pokemon lorsqu'il doit faire des voyages maritimes, narguant de temps à autre ceux qui s'initient à faire cela.

Je n'étais qu'un homme, un homme stupide qui désirait réaliser ses rêves, concepts futiles de notre société pour nous faire croire qu'un monde meilleur existe réellement. Je désirais tant partir, m'enfuir vers une contrée nouvelle ; les gens parlent de faire des aventures, accompagnés de leurs meilleurs amis. Pourquoi ne pouvais-je pas y avoir droit ? Je me consummais de ne pouvoir goûter à ce fruit défendu, Père ne voulait pas que je quite le foyer. Pourquoi ne pouvais-je pas partir ? Il le répétait sans cesse que la découverte de ce monde avait toujours été la plus grande expérience de sa vie. Sans cesse, je devais réclamer pour tenter de me retirer loin de cette contrée où je m'ennuyais inlassablement ... Je me rappelle ce jour où, une énième fois, je suppliai Père de me laisser partir :

« - Père, je vous en prie. Je ne pourrai plus partir réaliser ce grand voyage dont parlent tous ces gens. Vous savez pourtant à quel point je désire le réaliser.
- Il est hors de question que tu t'en ailles, Bledwyn. Je ne te le répéterai jamais assez : ce monde regorge de dangers. Tu n'y survivrai pas deux secondes sans qu'un troupeau de Rhinocorne ne t'écrasent ...
- Mais Père, vous m'avez toujours dit que votre voyage avait été la plus belle aventure de votre vie. Comment auriez-pu être le grand Professeur Pokemon sans ce périple ? Votre initiation avec les pokemons n'aurait jamais pu se produire sans cela.
- Bledwyn, je me répète : il est hors de question que tu partes où que ce soit ! J'ai assez perdu pour que tu t'en ailles à ton tour. Tu m'as bien entendu ?!
- Oui Père ... ».

Je sais parfaitement que Père faisait cela pour de bonnes raisons. Quatre années auparavant, il avait perdu ma soeur aînée, Dulcelia, dans un accident gravissime : elle était partie en direction de Carmin-sur-mer pour prendre ce fameux bateau dont la renommée n'était plus à faire. Elle ignorait pourtant qu'une organisation malfaisante s'inviterait sur le paquebot afin de voler les dresseurs novices de leurs créatures, leur argent et les quelques objets rares dont ils disposaient. Par la suite, sans que l'on puisse expliquer comment cela s'est produit ou que l'on puisse déterminer les causes de cet évènement, le navire fit naufrage, emportant des milliers de corps dans les abysses de l'océan. Depuis ce jour, Père m'interdisait de sortir où que ce soit ou de songer, un bref instant, à mener une quête dans la région. J'avais été informé des différents savoirs à connaître impérativement. Chaque semaine, Père palliait mes lacunes en me donnant diverses leçons. Un jour – je m'en rappelle encore alors que cela fait des années et que j'étais fort jeune –, Père m'avait mené à son laboratoire pour étudier les pokemons plantes. Lorsqu'il m'eut montré un de ses pokemons préférés, Joliflor, je lui posai une question qui le dérouta au plus haut point : « Si un Joliflor ne cesse de danser pour rendre le climat ensoleillé, se pourrait-il que les Noadkoko des environs perdent réellement leurs têtes pour créer des Noeunoeuf ? ». Il ne savait que répondre mais il remarqua à quel point je réfléchissais d'une manière vive et pointue. Bien que je fis mes preuves en démontrant mes connaissances, Père ne voulait pas céder. Il était hors de question pour lui de perdre un autre enfant. Je pouvais le comprendre, bien sûr, mais je ne pouvais m'y résoudre. L'idée de rester enfermer éternellement ne me plaisait nullement. Je la refusais d'ailleurs ... Et puis, lorsque j'eus mon dix-huitième anniversaire, je décidai de partir de chez moi pour accompagner cette fille. Elle était ma meilleure amie et m'avait toujours dit qu'elle partirait de chez elle à sa majorité. Elle me proposa de la suivre lorsqu'elle vint une fois au laboratoire. La nuit suivante, je décidai donc de faire le mur, emportant avec moi, une pokeball prise au hasard dans la collection de Père ; je ne pouvais ignorer qu'il me fallait forcément un starter pour débuter mon aventure. Je l'ouvris donc et aperçus de suite qu'il s'agissait d'un Togepi : c'était un bébé pokemon, une créature qui réclamait énormément d'entretien et d'attention. Je restai perplexe devant l'animal mais je lui expliquai la situation et celui-ci accepta de suite de m'accompagner. Rapidement, je réunis ensuite quelques affaires – des vêtements pour me changer, le peu d'argent que j'avais, un peu de nourriture, une carte de la région et un peu de papier pour écrire régulièrement à Père – et je partis du foyer, Togepi dans les bras, après avoir laissé un mot à Père. Je savais qu'il ne pourrait comprendre, qu'il enverrait certainement la police fouiller dans les quatre coins de la région mais je m'en fichais car j'étais avec elle. C'était débile, certes, de suivre une fille, une fille que l'on dit considérer comme sa meilleure amie mais que l'on estime comme davantage. Dès que mon premier regard s'était posé sur elle, cette délicieuse créature hantait mon esprit juvénile. Je tentai par tous les moyens de m'échapper de son emprise mais cela fut en vain. Elle me poursuivait même dans mes rêves éveillés ... Je désirais tellement mais elle était insouciante et énormément naïve, ignorant tout. Elle aimait particulièrement se moquer de moi parce que je débutais avec un Togepi mais je le lui rendais bien en la narguant de garçon manquée ou de fille incapable de capturer un autre pokemon que son starter. Cela était vrai, son deuxième pokemon a été, en réalité, le mien que je lui avais donné. Je savais qu'elle le désirait et je n'avais pu m'empêcher de l'attraper pour elle. Elle représentait tout pour moi et je savais que je comptais pour elle, mais à sa façon. Les années se succédèrent et nous parcourûmes presque l'entièreté de la région sans que je ne fasse attraper par la police. A chaque fois qu'elle se doutait de quoi que ce soit, j'utilisai un stratégème malicieux pour ne pas être repérer. Heureusement pour moi, mon amie était toujours là pour secourir à mon aide. Complicités et délires hallucinants furent les maîtres mots de notre aventure unique. Mais un jour, je décidai de me jeter à l'eau pour lui avouer ce que je ressentais réellement. Nous n'étions que sur une barque robuste à l'ouest de Doublonville, ville où règne un bruit en permanence à l'instar de Céladopole, à l'ombre du grand soleil endormi. Le paysage était féérique, idyllique pour ce genre de situation. Bien que tout cela faisait cliché, je ne pus résister à l'envie de tout lui avouer. Je voulais savoir s'il y avait une quelconque chance qu'elle puisse ressentir quelque chose à mon égard. De suite, après seulement quelques instants, je m'élançai dans la conversation :

- Encore une fois, je voulais te remercier. Tu m'as sauvé des griffes de la police tout à l'heure. Je te dois une fière chandelle.
- Tu n'as pas à me remercier, Bledwyn. On est une équipe tous les deux.
- Je voulais te dire, également, que ... que je serai toujours à tes côtés, quoi qu'il puisse se produire, commençais-je à dire, espérant parvenir à lui en déclamer davantage.
- Je le sais cela. Je le sais depuis le premier jour.
- Que veux-tu dire ?, demandais-je interloqué, sans comprendre où elle désirait en venir.
- Depuis la fois où tu es resté bouche-bée après que je t'ai demandé ton manuel à prêter lors du tout premier cours. Ce cours où tu portais ta chemise bleue boutonnée jusqu'au dernier bouton. Tu avais une mèche ou l'autre désordonnée mais cela te donnait un air tellement rebelle ...
- Je ... enfin, non ... Tu. Quoi ?
- Je suis amoureuse de toi, Bledwyn Suarez-Jones, affirma la demoiselle sur un ton sérieux et honnête. Depuis le premier jour, je souhaite qu'on soit plus que des amis mais j'avais peur, peur de tellement de choses, et j'espérais secrètement que tu fasses le premier pas que ...
- ...
- Oh, je vois. Je ... J'ai l'air si bête à présent, révéla-t-elle après émis un bref soupir.
- Ne dis pas de telles sottises, lui répondis-je directement en la saisissant par les épaules.
- Si je le suis. Ne le renie pas, déclara-t-elle vivement en cherchant ses mots. Son esprit se confondait à présent avec la réalité. Elle cherchait une solution pour combler cette gêne qui remplissait le blanc dans la conversation.
- Non, tu ne l'es pas parce que ... parce que je t'aime moi aussi, me surpris-je en annonçant l'information ».

Nos regards s'échangèrent longuement alors qu'une émotion infinie s'emparait de nos corps. Que faire ? Que dire dans telle situation. Je pris le visage de la demoiselle entre ses mains et tentai alors l'impossible : je l'embrassai au son des Coxy et des Yamma environnants. Celle-ci prolongea, rendant ce baiser magique. Qui aurait pu imaginer que ce simple baiser allait d'ailleurs être la promesse d'un futur certain ? En effet, les deux tourtoureaux que nous étions roucoulèrent pendant des années sans se soucier de quoi que ce soit. Nous formions une équipe dynamique, battant tous nos adversaires. Après quatre années de cavale, je décidai même de retourner chez mon père pour le saluer. Au départ, il marqua sa fureur, m'enguirlandant à souhait, mais après un instant, il changea d'opinion et fut heureux, exprimant sa joie même par quelques larmes. Il me donna alors une bénédiction à partir définitivement tout en m'invitant à revenir si je le souhaitais. Je partis ensuite avec l'élue de mon cœur, conquérir la région à nouveau mais je désirais réaliser une chose plus que tout au monde : la demander en mariage afin de m'unir à elle pour l'éternité. Tout se passa à merveilles et quelques mois après, nous fûmes déclarés mari et femme. J'étais comblé plus que tout au monde, je nageais dans le bonheur comme vous pouvez l'imaginer. Mais cet espace de joie fut de courte durée ... Il y a de cela trois mois, alors que ma femme était partie au marché pokemon sur la place publique de Doublonville, je fus alerté qu'un danger s'était produit : son pokemon de type vol, un Coxyclaque dûment entraîné, virevolta autour de moi afin de m'attirer vers un endroit bien précis. Je décidai de le suivre et fus alors conduit à un endroit inconnu. Celui-ci était bien gardé mais je pris mon courage à deux mains et m'aidai de des quelques pokemons dont je disposais : Togepi amadouait l'adversaire pendant que Rondoudou pouvait chanter pour les endormir. De suite, je les utilisai du mieux que je pouvai pour mener à bien mon plan. Après quelques heures de recherche, je parvins à trouver ma dulcinée, enfermée dans une cage. En pleurs, elle tentait de s'enfuir mais n'y parvenait. Je tentai, avec beaucoup de peine de l'aide mais je ne disposai pas des outils requis pour la secourir. C'est alors qu'elle me confia plusieurs pokeballs contenant plusieurs créatures : un Ortide, un Staross et un Lainergie. Elle m'assura que tout se passerait bien et que je devai m'en aller. Entendant du bruit, je la laissai seule, m'engoufrant dans un petit couloir qui me mena à un endroit que je n'aurai jamais pu imaginer. Là, je vis une horreur immense, réunie dans une pièce : un pokemon, que je ne reconnus pas de prime abord, avait été capturé et enchaîné. Des tubes étaient plantés dans tout son corps verdâtre et frêle. Je m'approchai du pokemon pour tenter de le reconnaître mais je n'étais pas sûr de son identité. C'est après un faible moment que je pus déterminer de quel pokemon il s'agissait sans en avoir une réelle certitude – je n'avais vu ce pokemon au laboratoire de Père. Je pensai cependant qu'il était alors impossible de le trouver dans la nature : Père m'avait dit qu'il s'agissait d'un pokemon légendaire. Et pourquoi mener de telles expériences sur ce pokemon ? Je restai perplexe pendant un long moment, sans trop comprendre la situation. Je m'approchai de la créature, lorsque j'entendis des cris. Ceux-ci provenaient de ma femme. Que lui faisait-on ? J'entendis des coups de révolver, puis un silence leur succéda. Était-ce un rêve ?Pendant un moment, mille et une idées me traversèrent l'esprit. Je ne savais que faire mais je restai impuissant. Je décidai de m'occuper du pokemon affaibli que je blottis dans mes bras et je m'enfuis par la suite pour hurler et exprimer mon désarroi. J'étais faible et je n'étais surtout pas de taille face à l'ennemi. Je me retournai pour voir l'endroit un dernier moment et vis alors des individus habillés d'une combinaison grise sur laquelle une lettre ressortait dans un rouge vif : un R majuscule brillait sur leur vêtement. Encore une fois, j'étais désarmé, ayant perdu tous mes repères. Comment ma vie paradisiaque avait-elle pu basculer en si peu de temps ? Je parti donc avec six pokeballs et un pokemon dans les bras. Après un long moment de marche, je m'arrêtai afin de réfléchir et de trouver une solution à ce cauchemar. Une larme jaillit, glissa le long de ma joue et tomba sur le pokemon légendaire : la créature se réveilla, des yeux exhorbités dans son corps céleste. On entendit soudainement un bruit au loin. Je ne pourrai vous dire de quoi il s'agissait car le pokemon, alerté ou intrigué, étincella d'une couleur scintillante. Quelques instants plus tard, je me réveillai au même endroit mais, cette fois-ci, je fus seul. Je disposai toujours de mes pokemons et commençai alors à marcher vers la ville, pensant qu'il fallait que je prévienne la police. Je me rendis alors à Doublonville, du plus vite que je le pouvais mais ma surprise fut de taille lorsque j'y arrivai : tout avait changé en seulement quelques heures pour devenir plus rétro. Je me souviens que j'avais vu certains de ces bâtiments sur d'anciennes photographies de mon grand-père. Cela semblait incroyable : je connaissais cette ville par cœur, sur les bouts des doigts et pourtant, je perdais tous mes repères. Pendant un simple instant, je me fis mille et un scénarii dans mon petit esprit crédule. Et puis, c'est là que je vis ce journal, ce bout de papier auquel tant d'hommes aiment s'attarder à la lecture. Celui-ci indiquait que nous étions au cours de l'année 2012. Or je suis né en 2071 ... Mon impression était bel et bien bonne : j'ai rencontré Celebi, le pokemon du temps, et nous sommes revenus des décennies en arrière. Mais une seule question trottait à présent dans mon esprit : comment vivre dans une époque qui n'est pas la sienne ?

pseudo ∞ paper*teen. âge ∞ 21 ans. région/pays ∞ Belgique. comment êtes-vous arrivé jusqu'ici ? ∞ publicité. votre avis sur le forum ? ∞ pas mal (: . avatar ∞ mathias lauridsen personnage ∞ inventé un dernier mot ? ∞ vive les canartichos

Excellente fiche J'aime beaucoup ton style d'écriture et ton personnage. Je te valide donc

Tu es désormais validé(e) sur PKM - THE POWER OF ONE, mais l'aventure ne fait que commencer ! Tu as encore plein de choses qui t'attendent, à toi de les découvrir. Pour t'aider, sache déjà que tu devrais venir faire recenser ton avatar officiellement sur le bottin. Ensuite, une partie très importante et non pas la moindre ! Tu vas devoir entamer la construction de ton Pokédex. Mais avant de poster, tu as de la lecture ! Viens lire ce sujet pour tout savoir sur l'élaboration du Pokédex. Ensuite, tu devras prendre le modèle du Pokédex. Il n'est pas obligatoire, mais vivement conseillé pour t'y habituer. Tu pourras le personnaliser à ta guise quand tu y seras plus familiarisé. Attention ! Tu ne dois pas oublier de passer commande pour obtenir ta T-CARD afin de l'ajouter à ton Pokédex. Après tout ça, tu pourras te faire si tu veux, un registre pour tes liens, mais il faudra le tenir à jour et non pas le délaisser pour en faire un flood. Nous serons intransigeantes sur ce point pour le bien du forum Tu auras également la possibilité de te faire un autre registre pour tes topics si tu le veux. D'autre part, tu devras forcément jeter un coup d'oeil dans les registres pour savoir si tu dois faire recenser des informations sur toi Tu pourras aller faire quelques achats dans la boutique PKM du forum pour y dépenser ton argent, avec modération ! Ne dépense pas tout, sait-on jamais. Le flood sera grand ouvert pour toi et pour que tu puisses t'adapter et t'intégrer pleinement sur le forum (sans délaisser le rp ) la CHATBOX est également disponible en ouvrant la pokéball sur le côté gauche du forum. De la bonne humeur garantie alors viens parler un peu ! Cette partie doit être surveillée également car importante alors ne l'oublie pas ! Tu auras plein de choses à découvrir aussi et enfin, si tu as quelques soucis, des questions, n'hésites pas à contacter un membre de l'équipe administrative pour te guider. Voilà, c'est tout, alors lance-toi dans l'aventure des pokémons, tu verras, tu ne pourras plus t'en défaire, à bientôt, pour de grandes aventures

Pour bien démarrer l'aventure, tu obtiens avec ta validation, les éléments suivants que tu devras recenser dans ton Pokédex. Les objets diffèrent en fonction du groupe que tu as choisis de rejoindre :

→ 3000$ pokédollars pour bien débuter.
→ 5 superballs
→ 2 guérisons
→ 3 total soins

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