nom ∞ Dimarco - nom de famille à cossonance italienne bien que les deux parents de Charlène soit tout deux natifs de Kanto. en recherchant bien, vous découvrirez que c'est du côté de la mère que la famille a des origines latino. prénoms ∞ Charlène Fleur, deux prénoms originaux choisis par la mère de Charlène. la jeune femme, botaniste, rêvait d'appeler sa fille Fleur depuis le jour où elle a découvert qu'elle était enceinte. Charlène étant le prénom de la défunte grand mère de la jeune fille, il était normal qu'elle en porte son prénom. âge ∞ elle vient tout juste de fêter ses 31 ans. profession ∞ elle aspirait à devenir la plus grande dresseuse de Pokémon de Kanto mais a échoué deux fois face à la Ligue. néanmoins, ses talents ne les ont pas laissé de marbre et elle est devenue, suite à cette rencontre, la nouvelle championne de la ville d'Azuria. ville natale ∞ si elle représente aujourd'hui la ville d'Azuria, Charlène est née à Jadielle. région actuelle ∞ Azuria. starter ∞ Carapuce, aujourd'hui transformé en Carabaff. badges ∞ Les 8 badges de la région de Kanto groupe ∞ Les Champions. qualités ∞ subtile - intelligente - motivee - maline - brave - ambitieuse défauts ∞ froide - orgueilleuse - volontairement hautaine - distante - mysterieuse autre chose ∞ Lorsque l'on rencontre Fleur, on se rend tout de suite compte qu'elle a vécu difficilement plusieurs pans de son existence. On comprend à la regarder que ce qu'elle a traversé n'a pas été de tout repos et qu'il y a derriere cette image dure et froide qu'elle dégage tout un passif douloureux et lourd.

CARAPUCE → le professeur Chen me sourit, il me regarde attentivement de la tête au pied et ne peut s'empêcher de caresser ma chevelure dorée. Je n'ai que onze ans lorsqu'il m'annonce : « Tu es en âge de comprendre ce que sont les Pokémons ma petite Fleur. Avec l'accord préalable de tes parents, j'aimerais que tu choisisses ton starter, à ton tour. Il est temps pour toi de franchir le pas, n'est-ce pas ? » je le regarde du haut de mon mètre cinquante-sept, tout sourire. Beaucoup de mes amis ont des Pokémon et j'avoue avoir toujours été un peu jalouse de ce petit être qu'ils s'amusent à chamailler, à prendre partout avec eux et à considérer comme un nouvel ami. Le professeur Chen est un ami de la famille, en quelque sorte. Je sais, de source sûre, qu'il est ami avec toutes les familles de la région de Kanto. Alors sans broncher, je le suis dans son laboratoire, il m'y emmène. J'ai appris en cours qu'il y avait, dans notre région, trois uniques Pokémons qu'on appelle des Starters, les premiers Pokémons de tout un chacun. Je sais aussi de qui il s'agit, à présent. Je me retrouve face à eux, je les observe en souriant, timidement. Les joues en feu, j'hésite... mais pas trop longtemps. Depuis toute petite, je voue une adoration à la mer qui est presque surnaturelle, chaque été, mes parents m'emmènent me baigner près de Cramois'île, une tradition qui se perd depuis leur divorce mais que ma mère tente, tant bien que mal, de conserver. Lorsque mes yeux se posent sur Carapuce, mon choix est déjà fait. Une tortue, mignone, petite et adorable, un être de l'eau, tout comme moi. Mes yeux remontent vers le professeur Chen tandis que du bout des doigts, je pointe le Pokémon en question. « C'est c'lui-là que j'veux, M'sieur Chen. » il éclate d'un rire sonore. « Je le savais déjà, Fleur. Carapuce sera donc ton premier Pokémon, prends en bien soin, entraîne-le mais surtout aime-le. Il dépend désormais de toi, et tu comprendrs bien rapidement qu'à ton tour, tu dépendras aussi de lui. » il me caresse la tête tandis qu'il me pousse en direction du petit Pokémon. Nos yeux se croisent et déjà, c'est le coup de foudre. Je me souviens l'avoir pris dans mes bras, lui avoir sussurré à l'oreille que jamais, jamais je ne lui ferai de mal et depuis ce jour, je n'ai jamais cessé de l'aimer comme on aime un petit frère, un compagnon de route...

STARI → l'eau est calme, je l'observe et m'y amuse. Rapuce batifole à quelque mètre, parfaitement dans son élément. ma mère chercher à conserver quelques traditions, malgré notre distance, la tension qu'il existe entre nous. Cramois'île, en plein été, c'est agréable, reposant. je ris doucement en regardant mon unique Pokémon chasser les poissirènes et puis, brusquement, je vois l'écaille d'une étoile de mer surgir à quelques mètres de distance. « Un Stari !!! » je plisse mes yeux, je ne rêve pas. j'ai entendu parler de ce Pokémon par des amies, à l'école, et j'avoue que depuis que je le connais, je voue un culte à cette étoile de mer si harmonieuse. je tourne mon visage vers ma mère qui semble avoir compris mes intentions, je me lève et me précipite vers elle. « Regarde dans notre sac ma chérie, il y a quelques Pokéball. » un simple sourire qui me fait comprendre que malgré tout, une certaine complicité subsiste entre nous. elle savait qu'en m'emmenant ici, je me découvrirai une nouvelle passion pour ces créatures, prévoyante, elle avait acheté quelques Pokéball, histoire de m'aider. d'une main tremblante, j'en attrape une et me précipite à nouveau vers l'eau. « Rapuuuce ! Attaque le Stari sauvage avec bulle d'o. » je me souviens de mon tout premier combat comme d'un évènement marquant la fin d'une ère et le début d'un nouveau voyage. après quelques ressentiments, je finirai par attraper Stari qui deviendra dès lors mon second Pokémon. le goût de l'aventure s'empare instinctivement de moi et me pousse à aller plus loin. Stari est aujourd'hui pour moi le Pokémon qui me rappelle à chaque fois cet instant précis où j'ai compris que ma vie prenait une nouvelle direction. complicité, subtilité et technique de combat, nous avons appris à nous apprivoiser jusqu'à devenir les meilleurs amis du monde. de toute mon équipe, c'est sur cet étoile dorée que je compte le plus car Stari est devenu, depuis peu, le Pokémon que j'apprécie le plus.

STAROSS → ma quête vient tout juste de commencer, j'ai seize ans et je décide de devenir dresseuse Pokémon. je quitte Jadielle en direction des arènes de Kanto, il est temps que je prenne ma vie en main. sur la route, je découvre passablement de Pokémons sauvages ; chenipan, papillusion, etc. mais j'avoue qu'aucun ne me fait vibrer comme l'avaient fait Rapuce et Starla. je suis une jeune fille capricieuse qui marche à l'instinct, j'ai besoin de sentir que le Pokémon que j'vais attraper m'était destiné. avant toute chose, je regarde le type auquel j'ai affaire et là, vous vous douterez bien que je ne m'accroche qu'au type aquatique. l'eau est mon univers, je la maîtrise depuis toute jeune et dans cet univers, elle reste la seule chose de stable. l'aventure débute à peine, munie de ma canne à pèche et d'une patience en or, je me retrouve seule, au bord d'une étendue d'eau. je sais que le temps est mère de toutes les vertues, je passe des journées entières à guetter les Pokémons et puis, un jour, je l'apperçois. sa couleur violette est aussi impressionnante que le nombre de branches qu'il contient. à l'image de Stari, Staross est harmonieux, combattif et gracieux, un magnifique Pokémon. mon instinct se réveille brusquement et un sourire se fige sur mes lèvres. je murmure « Je t'attendais, frippon. » mes sourcils s'arquent tandis que je libère Starla de sa Pokéball. après un combat mûrement réfléchi mais encore un peu hésitant, j'achève la capture de mon troisième Pokémon. dès cet instant, je comprends que ma quête ne fait que commencer, mais que peu importe les embûches, avec de l'esprit, de l'instinct et du courage, je parviendrais à obtenir ce que je recherche désespérément. à mes yeux de jeune fille, Staross représente l'espoir et le courage dont il me faudra faire preuve. il est, dans mon équipe, le pillier principal de ma formation. il est le Pokémon que je joue toujours en premier car il est, à mon avis, le plus puissant d'entre tous.

HYPOTREMPE → avec déjà deux badges en poche, je commence à sourire fièrement de mon parcours. je n'ai peut-être que dix-septs ans mais j'arbore déjà l'allure d'une grande dresseuse. sur mon parcours, je croise la route de bon nombre de dresseurs, un seul s'aventurera à marcher à mes côtés plusieurs années. les sentiments qui nouaient notre relation étaient ambigües et quelques peu compliqués, mais ils étaient sincèrs. nous nous soutenions, nous nous apprécions. ne jouant pas sur le même style de combat, nous avions trouvé dans nos adversaires communs une approche différente de notre quête, nous étions complémentaires. je me souviens lui avoir avoué ma passion pour l'océan dès les premiers jours, et c'est grâce à lui et à l'amour qu'il me portait que je dois la rencontre avec mon quatrième Pokémon : Hypotrempe. nous nous baladions main dans la main en direction de Safrania, longeant les côtes et prenant notre temps pour flirter et profiter lorsqu'il hurla en pointant du doigt. « Honey, regarde... Un Hypotrempe. » excitée par la curiosité, je plisse les yeux et découvre la majestuosité de ce petit Pokémon à première vue innofensif. arrêtée net dans notre marche, je pose mes mains sur mon front telle une casquette pour me protéger du soleil luisant et obsèrve la nature si chétive de cette adorable créature. il ne lui faudra pas plus d'indices pour comprendre que je craque littéralement et avant même que j'attaque la première, il enverra l'un de ses propres Pokémons, tel un chevalier servant, pour me capturer Hypotrempe. un nouveau membre dans mon équipe, à présent, je souris en embrassant mon preux chevalier. dès ce jour, Potrempe deviendra à mes yeux la marque d'un amour réciproque que nous partagions depuis quelques temps déjà. Potrempe sera la force qui m'anime et qui me poussera à aller toujours plus loin, c'est cette petite créature qui deviendra, à mes yeux, synonyme de partage, de passion et d'amour.

OTARIA → « Maman, regarde ce Pokémon, comme il est chou' » le parc Safari n'est pas l'endroit où je me voyais finir ma vie, pourtant, je m'y suis résolue avec le temps. mon compagnon, et père de Nora, m'a quitté du jour au lendemain... quant à ma quête, je l'ai arrêtée au moment même où il m'a abandonnée. nous ne sommes plus que toutes les deux, elle et moi. mes quatre Pokémons, que j'expose fièrement dans le parc, me restent fidèle mais nous ne combattons plus à titre sportif. si Nora semble avoir trouvé en eux la famille qu'elle n'a pas connu, je me réconforte en me disant qu'elle pourra, un jour, rattraper toutes les erreurs que j'ai commises et avoir une vie plus agréable et responsable que la mienne. « C'est un Otaria ma chérie... » « J'le veux ! » « Sweety, tu es trop jeune pour ça, tu sais... » « Maman, s'il te plaîîîîîîîîîîît » inutile de résiste, je cède trop facilement. j'ai tellement peur de la faire souffrir et de la perdre que je suis le genre de mère à accourir lorsqu'elle pleure et à lui offrir trop de cadeaux à Noël pour lui faire croire que son père est passé. je capture Otaria dans le Parc Safari, à l'époque, je voulais en faire cadeau à ma fille et puis, le jour où je la laisserai dans cette pension, je ne pourrai m'empêcher de la prendre avec moi. Otaria n'est pas le Pokémon qui me rappelle la meilleure période de ma vie, je l'admets volontiers, mais en me servant de ces souvenirs tortueux, j'ai réussi à faire de ce Pokémon une véritable force. aujourd'hui, il est un élément important de mon équipe puisqu'il se trouve être l'un des plus vivaces et receptifs. en dehors de nos combats, il est aussi le Pokémon le plus proche de Nora, évidemment, et c'est parce qu'ils s'aiment autant que j'aime ce Pokémon si fort. quelque part, je me dis qu'un jour, j'ai pu être une mère raisonnablement bonne pour avoir offert à ma fille un cadeau qu'elle désirait tant. en les regardant grandir ensemble, je réalise qu'Otaria n'est pas uniquement porteur d'une image répréhensible mais de l'amour que je porte à ma fille et que je lui porterai à jamais.

LOKHLASS → je n'ai obtenu ce Pokémon qu'après mes deux défaites face à la Ligue Pokémon. aussi étrange que celà puisse vous paraître, je suis tombé sur l'oeuf d'un Lokhlass complètement par hasard, en surfant sur le dos de Rapuce. une partie de moi refusait de corrompre une nouvelle fois mes principes mais la tentation était trop grande. au risque de détruire une famille de Lokhlass qui attendait un heureux évènement, j'ai subtilisé l'oeuf et quelques jours à peine plus tard, naissant le dernier Pokémon qui viendrait s'ajouter à mon équipe composée des cinq autres Pokémon, tous porteurs d'un évènement important de mon existence. Lokhlass, à l'image de mes autres partenaires, marquerait à jamais la fin d'une période, cet instant précis où, les remords pesant sur mes épaules, j'ai compris que je n'étais pas faite pour devenir dresseuse mais que ma place était auprès de ma fille unique. j'ai connu ce Pokémon aussi bébé que ma petite Nora et je l'ai aimé, tout autant. depuis le temps, il est devenu robuste et fort, je commence, depuis quelques années, à l'inclure dans mes combats et je dois avouer qu'à l'image de Nora, il est impulsif, indomptable mais combattif, volontaire et débrouillard. dans les défis qu'on me lance, il marque toujours les esprits par sa vivacité d'esprit et sa capacité d'adaptation unique. grandioses, ses attaques en étonnent toujours plus d'un et laisse souvent mes adversaires conquis par son rôle important. il est, à mes yeux, le Pokémon qui me rappellera à jamais que dans la vie, il n'y a rien de plus important que l'ambition ; c'est de cette force que l'on doit se nourrir pour atteindre ses rêves. il est cette dernière part de réalité qui subsiste dans un mensonge que je fais vivre depuis trop longtemps.

Il n'existe pas trente-six milles appellations possible pour ce qu'il m'a fait. Pourtant, j'aimerais lui trouver des excuses, lui dire simplement que je lui pardonne ses actes, mais je n'y arrive pas. Il n'y aucun mots suffisamment forts pour trouver une quelconque explications. Face au Juge, j'entends encore ses mots bredouillés à mi-voix « Cette gamine a tout fait pour me tenter. Elle a provoqué ce qui lui est arrivé, et je regrette de m'être montré aussi faible. » Je n'avais que onze ans pourtant lorsqu'il a poussé la porte de ma chambre cette nuit là. « Tu dors petite ? » est ce qu'il a murmuré. J'aurais dû être étonnée par la discrétion dont il faisait preuve, toujours est-il que je m'étais juste contentée de lui répondre en marmonnant « Je ne trouve pas le sommeil, papa. ». Je l'aimais, j'étais fier de lui, fier de notre famille. Ma relation avec mon père avait toujours été fusionnelle et étrangement seine… pourquoi tout a dérapé ? Je me rappelle l'avoir vu se poser près de moi, l'avoir senti m'étreindre tandis que je calfeutrais mon visage au creux de son cou. J'aimais l'attention qu'il me portait, je n'imaginais alors pas qu'il attendait de moi bien plus que ce qu'une fille devrait donner à son patriarche. Cette nuit-là, il m'a volé plus que mon innocence, il a détruit mes idéaux. En respirant mes cheveux, il a franchi une barrière qu'il n'aurait jamais dû. Je n'ai rien dit, je l'ai laissé faire. Peut-être est-ce qu'il voulait dire en m'accusant à tort d'avoir tout fait pour provoquer cet échange. Cette nuit-là, il n'était plus mon père, mais un parfait inconnu qui déchargeait ses pulsions animales sur une adolescente de tout juste douze ans. Je ne lui ai jamais pardonné… Ma mère non plus. « Maman… il faut… il faut que tu saches quelque chose à propos de papa. » J'ai mis douze mois et vingt jours avant d'avouer enfin à ma mère que mon père me séquestrait plusieurs fois par mois dans la cave de notre grande maison pour assouvir les besoins que ma mère refusait obstinément de lui donner. Sa réaction a été violente, la gifle qu'elle m'a donné ce soir-là m'a profondément blessée. Coupable, je me sentais coupable. Elle ne comprendrait jamais, c'était cette histoire qui nous mènerait tout droit à notre perte. « Fleur n'est pas une fille comme les autres. Elle n'avait pas envie de coucher avec des garçons de son âge, elle se sentait assez mûr pour moi, elle ne désirait que moi. » Les balivernes servies au Juge par mon père n'auront pas fait mouche, il sera incarcéré et le divorce sera prononcé sur le champs. Je pensais être débarrassée à jamais de ce fardeau, je pensais reprendre une vie normale. Le procès a pompé toute notre énergie, ma mère, autrefois si extravertie, bavarde et friande de cancans ne m'adresse plus la parole. Nos regards s'évitent et les repas sont lourds. A treize ans pourtant, elle m'annonce « Le professeur Chen et moi sommes d'avis qu'il est temps pour toi d'adopter ton premier Pokémon, ma chérie. » comme un acte de bonté qui s'estompera avec le temps, et l'expérience. Nos derniers instants, nos derniers sourires. Nous ne partageons plus rien, elle est pour moi cette étrangère que je déciderai d'abandonner le jour de mes seize ans. Rapuce marquera le début de mon salut. A treize ans, je comprenais tout le sens de l'expression : nous ne sommes jamais servis que par nous même. Mon père en prison, j'oubliais gentiment ses sévices tandis que ma mère s'effaçait derrière un masque de rancœur et de haine inavouée, nous n'étions plus que des étrangères l'une pour l'autre à présent. Je me souviens l'avoir regardé droit dans les yeux, le jour de mes seize ans « Maman, je m'en vais… je ne supporte plus de te voir me regarder comme un monstre. Comme si j'étais coupable du viol de mon propre père, coupable de votre divorce et du déclin de notre famille. Maman, je m'en vais, je ne veux plus avoir à affronter ton regard désapprobateur et nos conflits, je ne le supporte plus. » J'ai seize ans, et je décide de prendre ma vie en main. J'ai seize ans, et qu'importe les bons souvenirs, qu'importe les leçons de piano et de danse, la maison familiale, les balades près du marais et les voisins… qu'importe mon statut de fille unique, leur attachement, leur affection, qu'importe les vacances à la mer et les heures de natations, j'ai seize ans et je quitte ma première vie pour m'en construire une seconde, seule.



Eleanora a les cheveux d'un noir de jais, impressionnant. Son sourire reflète les rayons du soleil et son innocence est si pure que je peine à me reconnaître dans les traits harmonieux de son visage d'enfant. Elle n'a que trois ans, mais elle scintille, tel un ange. Sa simple vision émerveille chacune de mes journées mornes et tristes sous le soleil ardent de Safrania. Je suis une de ces nombreuses mères complètement sous le charme de sa progéniture, quel doux cadeau ! Je me complais à l'observer jouer avec les Pokémons que j'élève, ici-même, au parc Safari. Pourtant, lorsqu'elle penche son visage sur le côté et me regarde avec cet air absent, je devine à son expression que son père lui manque… son père ! « Il en est hors de question Fleur. » les larmes perlaient sur mon visage depuis le début de notre conversation. « Je t'annonce que je suis enceinte et tout ce que tu trouves à me répondre c'est que tu ne veux pas de cet enfant ? Quel genre d'homme es-tu ? » « Le genre d'homme qui préfère poursuivre sa quête que de se retrouver coincé dans un moule tout ça parce qu'il a omis de se protéger une fois… » « Tu considères cet enfant comme une erreur ? Je t'aime bon sang… je pensais que tu m'aimais aussi. » « Et c'est le cas, mais je n'aime que toi, que nous… je n'ai pas suffisamment d'amour pour un bébé, pas maintenant, pas comme ça. » et il est parti. Je ne l'ai plus jamais revu. La fuite est un acte humain, pourtant jamais je n'arriverai à lui pardonner de m'avoir abandonnée, moi, ici. « Maman, il est comment papa ? » « C'est un homme bien… ma chérie » Je l'ai rencontrée alors que j'avais quinze ans, à l'époque, je venais de quitter foyer, famille et amis pour une quête sans nom. Je visais haut, je voulais devenir championne Pokémon et rien ne semblait pouvoir se mettre sur ma route. Il n'avait qu'une année de plus que moi, il m'a fait sentir vivante… il m'a fait sentir humaine ! Après les affres de ma famille, j'avais ressenti le besoin d'être quelqu'un, quelqu'un dans les yeux d'un homme qui n'était pas mon père. Nous avons évolué ensemble, nous avons capturé chacun notre lots de Pokémons ensemble, nous avons pratiquement grandi l'un avec l'autre. Les arènes se succédaient mais personne ne semblait suffisamment fort pour nous arrêter. « Et tu l'aimes mon papa ? Hein, maman ? Tu l'aimes ? » « Ton père sera toujours dans mon cœur, ma puce. » Je l'aimais, comme on aime rarement quelqu'un. Il était mon mentor, il était mon héros, il était mon tout. Nous nous aimions, du moins je le pensais. Encore aujourd'hui, lorsque je pose les yeux sur ma fille, je ne peux m'empêcher de penser qu'elle est le fruit d'une passion commune et réciproque. Nous étions tout l'un pour l'autre, nous avions tout l'un pour l'autre. Mais tout a pris fin… trop vite, beaucoup trop vite. Je n'ai rien vu venir, je n'ai rien compris. A tout juste vingt ans, j'apprenais que j'étais enceinte et nos deux vies conjuguées furent séparées pour la première fois. Nos avis divergent, je me rappelle l'avoir regardé partir, le visage effondré. Je me souviens l'avoir observé marcher dans l'allée avant de prendre un bus et j'ai compris… compris qu'il ne reviendrait jamais. J'étais désormais seule, comme autrefois. C'était moi, moi contre eux, moi contre mes ennemis mais aussi contre mes amis. Je ne le lui pardonnerai jamais ! Une nouvelle fois, j'ai pris mon courage à deux mains, j'ai abattu la peur qui me hantait, celle de devoir vivre cette expérience seule et j'ai fais de cette grossesse une nouvelle force… Une chance de procréer, de donner à un petit être la vie que je n'avais jamais eu. Je décidais de me battre, et lorsque mes yeux se posent sur le visage si tendre de ma progéniture, je ne regrette en rien mes choix. Je dépose un baiser sur son front tout en souriant. Nous ne sommes pas forcément un exemple de famille heureuse mais nous survivons. Ma fille ne manque de rien, elle ne manquera jamais de rien. Alors je lâche sa main et je la regarde retourner en courant auprès des Pokémons qui nous entoure… c'est dans des instants pareils que je me dis qu'une vie, peu importe ce qu'elle fut dans le passé, peut toujours être sauvée. Il suffit d'une seule main tendue, n'est-ce pas ? « Aleana, tu viens m'aider… je dois me rendre dans l'enclos de Kangourex, j'vais avoir besoin d'un coup d'main. » « J'arrive Steve, j'arrive. »

Les Pokémons sont des êtres étranges, indomptables parfois mais la plupart du temps, ils sont apprivoisables et affectueux. Le Parc Safari est une réserve naturelle qui permet aux visiteurs du monde entier d'observer ces créatures en pleine liberté sans avoir besoin de vagabonder de par le monde. Je travaille ici depuis la naissance d'Eleanora, nous louons un petit studio en attique, et nous vivons à Safrania. Elle passe la plupart du temps parmi les Pokémons, parfois à la crèche mais bien souvent, elle reste près de moi. Dépendante, je suis devenue dépendante à ma fille comme on devient dépendante à une drogue. « Mlle Dimarco, je tenais à vous informer que votre père a été libéré pour bonne conduite. » la voix de l'inspecteur, à l'autre bout du fil, me fait frémir. A l'époque, j'étais tout juste enceinte et mon compagnon venait de m'abandonner. La naissance de ma fille était prévue pour les cinq mois à venir et j'ai eu peur… peur de voir ce monstre apparaître à nouveau dans ma vie, et dans celle de ma famille. Et s'il cherchait à lui faire du mal, comme il m'en avait fait ? Et s'il revenait pour me hanter, me reprocher d'avoir brisé mes parents, leur ménage et leur confiance ? C'est cette angoisse chronique qui, à l'époque, m'a poussé à me rendre au contrôle des habitants de la ville de Safrania et à m'annoncer sous un faux pseudonyme. Désormais, je m'appelais Alaena Haddock, et de cette manière, je pourrai protéger mon enfant. « Alaena, t'es dans la lune où quoi ? » Je secoue mon visage, j'esquisse un sourire. Dans mes yeux, il y a tant de blessures cachées, tant de souffrances marquées, mais je ne laisse rien transparaître. Feignant la sympathie, j'ai su me faire accepter de mon nouvel entourage sans trop de problème. Ici, j'ai tout oublié de ma vie passée, ici, j'apprends à vivre parmi des humains lambdas, sans autre conviction que le bonheur de leur proche. Je me sens mis à part, comme marginal, je me sens mal dans mes baskets et pourtant… J'aime ma fille, énormément, plus que tout au monde. Voilà trois ans que j'ai abandonné ma quête des badges pour subvenir aux besoins de ce petit être, ce petit bout de femme. A presque vingt-cinq ans, je me sens à l'écart, comme un papillon dans un chrysalide qui serait incapable d'en sortir. Enfermée, je suis en prison. A fuir mon père, j'ai appris à me fuir moi, moi et mes principes, mes ambitions et mes idéaux. « Pearl, je sais que je t'en demande beaucoup mais il faut que tu gardes 'Nora quelques jours en pension, ici… Je sais que c'est précipité mais il faut que tu me rendes ce service. Je viendrai la récupérer, dès que possible, je t'en fais la promesse. » Sur un coup de tête, j'abandonne ma fille dans les bras d'une parfaite inconnue et je quitte Safrania. L'obsession de l'aventure me hante, jour et nuit, j'ai besoin de le faire, besoin de vivre pour moi, besoin de faire preuve d'égoïsme. Au détriment du bonheur de mon propre enfant, je renonce à mon rôle de mère et redevient la petite fille capricieuse que j'avais été, autrefois. A vingt-quatre ans, je quitte cette vie que je pensais rangée pour l'aventure, mon aventure…



Il en faut peut pour être heureux, à ce qu'on dit. Moi, j'avais besoin de vivre mon aventure pour trouver qui j'étais vraiment, qui je voulais être vraiment. Deux longues années loin de ma fille, loin de mes obligations… deux nouvelles longues années à vivre pour moi, pour ma quête et à collectionner les badges. J'étais une mère indigne, mais je m'en fichais royalement, j'avais besoin de le faire, de franchir cette dernière limite pour découvrir qui j'étais. La Ligue était mon nouveau but, but ultime, j'y parviendrais, je le savais ! Deux longues années loin de mon sang, de ma chair, à redevenir Charlène Fleur Dimarco. Les cheveux défaits, le sourire ancré sur le visage, j'affrontais les champions tout en défiant d'autres dresseurs. Un jour, je serais la meilleure d'entre toutes. Comme dans l'intime conviction de devenir véritablement quelqu'un aux yeux du reste du monde mais surtout à mes yeux, je me suis frayé un chemin tout droit jusqu'à la Ligue Pokémon. J'ai affronté les meilleurs dresseurs de Kanto à deux reprises, j'ai échoué à chaque fois, et je ne le regrette pas. Mon équipe Pokémon, principalement composée par le type eau, n'aura pas été à la hauteur de mes espoirs, certes, mais notre talent et nos ambitions étaient si fortes qu'il nous aurait été impossible de rêver meilleure fin. A l'époque, j'ai quitté la Ligue la mine défaite et le moral cassé, à zéro. Finalement, je ne serais jamais championne Pokémon, tout juste une dresseur parmi tant d'autres qui n'aura pas su se démarquer. Mes techniques, mes valeurs, mes attaques n'auront eu pour effet que de me mener à ma propre perte. « Pearl, c'est Alaena, je sais que j'ai mis du temps à te rappeler… mais je serais de retour très vite. Embrasse Nora pour moi, s'il te plait. » Les regrets prennent souvent le pas sur les décisions qu'on a prises et qu'on pensait murement réfléchies. Avec le temps vient la sagesse, on comprend nos erreurs et on en assume le poids des conséquences. Je ne retrouverai peut-être pas ma fille, qui sait ! Je l'ai abandonnée alors qu'elle n'avait que trois ans, aujourd'hui, elle en a six et je ne suis pas sûr qu'elle se souvienne encore de moi, ni qu'elle veuille toujours de moi. Entre temps, la pension aura certainement eu l'orgueil de la placer dans une famille d'accueil, à mon grand regret, mais j'avancerais. Il ne me reste aujourd'hui qu'un faible espoir, celui de reconquérir le plus important des trésors : l'amour de ma fille ! J'ai dans ma poche huit badges qui prouvent mon intelligence et ma capacité à être une dresseur hors-pair, mais tout l'or du monde ne suffira pas à la ramener à moi, à mes côtés. Je fais preuve d'humilité en avouant à qui veut l'entendre que je ne suis rien, rien d'autre qu'une de ses mères ratées qui ne savent pas prendre soin de leur progéniture. A l'image de mes parents, j'ai reproduit les mêmes erreurs. Moi qui clamais haut et fort que je ne voulais en rien leur ressembler, je suis aujourd'hui leur pâle copie, une imitation ratée, pourrie ! Sur le chemin du retour, je pèse mes erreurs et j'apprends de celles-ci. A vingt-septs ans, je reviens sur mes pas, comme une gamine éplorée, comme ces filles trop faibles qui réalisent qu'elles n'ont jamais su prendre les bonnes décisions. La tête baissée, le regard rivé sur le sol, je suis un animal en faïence et je l'assume. Je reviens à Safrania, la queue entre les jambes, prête à tout pour rattraper ce que j'ai perdu. « Mlle Dimarco, ici le Conseil de la Ligue Pokémon. » Avant d'avoir eu le temps de déposer mes valises à Safrania et d'y reprendre ma vie exactement là où je l'avais laissée, mon téléphone vibre dans ma poche, porteur de nouvelles qui bouleverseront encore une fois le cours des choses. « Il semblerait que votre technique de combat et votre passion pour les pokémons de type aquatique n'ait pas laissé la Ligue Pokémon indifférente, au contraire. » Je ne comprends pas ce qui m'arrive, mais je suis sur le point de grandir une nouvelle fois, d'évoluer. Sans m'en rendre compte, je reste béate devant les compliments que l'on me sert, je ne bronche plus, m'arrêtant net dans ma course. « Nous avons besoin d'une nouvelle championne pour l'arène d'Azuria et nous tenons à ce que cette ville soit représentée par une personne telle que vous, Mlle Dimarco. » mon cœur manque de sortir de ma cage thoraxique tandis qu'on m'ouvre les portes d'une nouvelle vie, une troisième vie. « Acceptez-vous notre offre Mlle ? » Face à moi, deux options ; redevenir une mère au foyer, éleveuse de pokémon sous une fausse identité… ou « Je l'accepte… mais il faut que vous sachiez quelque chose de vraiment important, auparavant. » Il est temps que le masque tombe !



Comprenez-moi, j'ai essayé d'être une bonne mère, mais j'en suis totalement incapable. Le problème avec le mensonge c'est que lorsqu'on s'y enfonce, on peine à s'en sortir… Je me souviens du jour où j'ai retrouvé Eleanora pour la première fois depuis trois ans, déjà. Son regard était triste, elle n'avait pas changé, juste grandi. Elle était belle, toujours aussi belle. Angélique, mais dans son expression était née une infinie tristesse, celle-là même que j'avais trop longtemps retrouvé dans mes propres iris. « Vous devez être Pearl ? Ma sœur m'a parlé de vous… Je suis Fleur Dimarco, je vous ai téléphoné il y a quelques jours. Vous vous souvenez ? » A la mine déconfite de la jeune femme, apparemment oui ! Lorsque la Ligue m'avait proposé un poste de Championne d'arène à Azuria, je me serais sentie bien bête de refuser. Paniquée, j'avais inventé le plus horrible de mes mensonges. « Il faut que je vous avoue quelque chose d'important. Ma sœur jumelle, Alaena, est décédée il y a quelques jours à peine. Si j'ai refusé de concourir une troisième fois contre vous, c'est parce que ma sœur jumelle avait une fille et que, à ma plus grande surprise, je suis devenue sa tutrice légale, aujourd'hui. J'accepte votre poste à la condition de pouvoir aller chercher avant tout Eleanora et l'amener avec moi. Elle a tout juste six ans, elle ne vous causera pas de problèmes. » Le Conseil avait accepté ma requête, ainsi, quelques jours plus tard, j'embarquais la jeune fille et je quittais Safrania pour Azuria. Je n'étais plus Alaena, mais bien Fleur Dimarco. Ma fille ne l'était plus, elle était désormais ma nièce et je devais apprendre à me complaire dans un rôle qui n'était pas le mien. L'affection qu'elle me portait était faussée par une image que je ne cherchais pourtant pas à dégager. J'ai envie, chaque jour que Dieu fait, de lui hurler que je suis sa mère mais je ne peux pas, je n'y arrive pas. Si Nora apprenait ce secret, cela détruirait à coup sûr notre relation, et si je le lui avouais, je risquerais de perdre mon poste. La confiance que me porte le conseil depuis plusieurs années est telle que je n'ose pas franchir cette dernière limite. Cantonnée dans un rôle qui n'est pas le mien, je n'ai d'autre choix qu'apprendre à vivre.

« Joyeux trente-et-unième anniversaire tata. » « Evite de le dire trop fort 'Nora, tu sais que je n'assume pas mon âge… » je glousse doucement, nous sommes toutes les deux, seules, dans notre maison, à Azuria. Nous nous aimons, je l'aime, elle m'aime. Notre relation est saine, à quelques détails prêts. Il y a quelques jours à peine, elle m'a appris qu'elle comptait partir vivre l'aventure, la même que celle que j'avais vécu. Elle n'a jamais cherché à apprendre d'avantage sur mes parents, quant à sa mère, nous en parlons peu souvent. Je ne soulève pas de points douloureux et j'évite de parler de ça en sa présence. Au fond, je vis aujourd'hui dans une cage et j'apprends à m'en contenter. Etre mère sans pouvoir l'assumer est une épreuve bien trop douloureuse, résultat des choix désastreux qui ont jusque là jonché ma vie. J'ai abandonné Nora alors qu'elle n'était qu'une enfant, aujourd'hui je n'ai pas le droit de la récupérer parce que j'ai préféré être égoïste que de l'aimer. Mon aventure s'est achevée le jour où je l'ai laissé au détriment des badges qui pourrissent dans ma table de chevée. J'ai perdu ma fille à vouloir devenir quelqu'un. Pourtant pas aigrie pour un sou, je me montre à la hauteur de mes engagements auprès de notre ville. J'avoue aimer mon job, aimer ma routine, mais parfois, je me perds dans trop de réflexions… Je n'ai plus contact avec mes parents depuis que je leur ai tourné le dos, quant à la vie que je menais à Safrania, je n'ai plus le droit d'y penser… Je suis aujourd'hui sur le point de voir ma propre fille quitter le domaine familiale et marcher sur mes traces. Je vois la fierté qu'elle éprouve à mon égard même si je sais qu'au fond, toute sa vie repose sur un mensonge que j'ai brodé au fil des années et qui risque de s'écrouler à tout moment…

pseudo ∞ goulaash. âge ∞ 22 ans. région/pays ∞ pas en France, malheureusement. comment êtes-vous arrivé jusqu'ici ? ∞ sur bazzart, je suivais tout ça de près. votre avis sur le forum ? ∞ sensationnel. j'espère qu'il fonctionnera, pour m'être inscrit sur plusieurs forum PKM avant et les avoir tous vu couler. avatar ∞ sans hésitations la magnifique sarah michelle gellar personnage ∞ inventé un dernier mot ? ∞ adoptez-moi, je suis plus câline que miaous.

Déjà que le prénom Fleur, ça gère (je sors ) le personnage gère tout autant ! J'aime énormément l'histoire. Tu as vraiment approfondis le tout et le caractère de Fleur est excellent ! J'espère rp avec toi un jour pour l'équipe, c'est très bien. Pour Lokhlass, j'accepte. Tout est bien expliqué et pour le titre de champion, je dis oui donc ça sera bon et sinon, bon jeu !

Tu es désormais validé(e) sur PKM - THE POWER OF ONE, mais l'aventure ne fait que commencer ! Tu as encore plein de choses qui t'attendent, à toi de les découvrir. Pour t'aider, sache déjà que tu devrais venir faire recenser ton avatar officiellement sur le bottin. Ensuite, une partie très importante et non pas la moindre ! Tu vas devoir entamer la construction de ton Pokédex. Mais avant de poster, tu as de la lecture ! Viens lire ce sujet pour tout savoir sur l'élaboration du Pokédex. Ensuite, tu devras prendre le modèle du Pokédex. Il n'est pas obligatoire, mais vivement conseillé pour t'y habituer. Tu pourras le personnaliser à ta guise quand tu y seras plus familiarisé. Après tout ça, tu pourras te faire si tu veux, un registre pour tes liens, mais il faudra le tenir à jour et non pas le délaisser pour en faire un flood. Nous serons intransigeantes sur ce point pour le bien du forum Tu auras également la possibilité de te faire un autre registre pour tes topics si tu le veux. D'autre part, tu devras forcément jeter un coup d'oeil dans les registres pour savoir si tu dois faire recenser des informations sur toi Tu pourras aller faire quelques achats dans la boutique PKM du forum pour y dépenser ton argent, avec modération ! Ne dépense pas tout, sait-on jamais. Le flood sera grand ouvert pour toi et pour que tu puisses t'adapter et t'intégrer pleinement sur le forum (sans délaisser le rp ) la CHATBOX est également disponible en ouvrant la pokéball sur le côté gauche du forum. De la bonne humeur garantie alors viens parler un peu ! Cette partie doit être surveillée également car importante alors ne l'oublie pas ! Tu auras plein de choses à découvrir aussi et enfin, si tu as quelques soucis, des questions, n'hésites pas à contacter un membre de l'équipe administrative pour te guider. Voilà, c'est tout, alors lance-toi dans l'aventure des pokémons, tu verras, tu ne pourras plus t'en défaire, à bientôt, pour de grandes aventures

Pour bien démarrer l'aventure, tu obtiens avec ta validation, les éléments suivants que tu devras recenser dans ton Pokédex. Les objets diffèrent en fonction du groupe que tu as choisis de rejoindre :

→ 3000$ pokédollars pour bien débuter.
→ 3 hyperballs
→ 2 guérisons
→ 2 rappels

Fais en bon usage