Lennon R. McNelly
ce qu'il faut savoir sur moi
nom ∞ McNelly. prénoms ∞ Lennon Ray. âge ∞ 24 ans. profession ∞ éleveuse. ville natale ∞ Parmanie. région actuelle ∞ Carmin-sur-mer (Kanto). starter ∞ un Miaouss, maintenant devenu Persian. badges ∞ 7 de la région de Kanto. groupe ∞ éleveuse qualités ∞ courageuse - authentique - bavarde - intelligente - souriante défauts ∞ aexigeante - froide - lunatique - ventarde - menteuse autre chose ∞ a au début eu pour vocation le métier de Championne mais a récemment changé de perspective d'avenir.
mes pokémons
passe ta souris sur eux.Persian ♂ - lvl 36 Pas de surnom | Ponyta ♀ - lvl 33 Pas de surnom | Staross Ass. - lvl 30 Pas de surnom |
Feuforêve ♀ - lvl 28 Pas de surnom | Draco ♂ - lvl 32 Pas de surnom | Nom ♂/♀ - level surnom |
Vous pourrez trouver les icônes des pokémons sur ce site-ci. Nous nous réservons le droit de vous demander de remanier vos équipes pokémons si nous estimons que celles-ci ne sont pas adaptées pour le niveau ainsi que la profession de votre personnage afin d'éviter les abus.
informations sur mes pokémons
Ici, nous vous demanderons plus d'informations concernant vos pokémon. Des anecdotes en quelques sorte. Comme l'avez vous rencontré, qu'en est-il de son caractère, ... Ce genre de détails. Soyez innovateurs, surprenez-nous !
Merci de présenter votre Pokémon sous la forme suivante :
PERSIAN → Lennon a eu son premier pokémon alors qu'elle était encore une gamine. Son père, qui avait déjà pu observer l'attachement que sa fille portait déjà à ces petites bêtes, a décidé qu'il était grand temps pour elle d'avoir le sien, avant d'atteindre l'âge légal. Miaouss montra alors le bout de son nez, dans un petit panier, adressé à la petite Lennon. Cet adorable pokemon était supposé la protéger, être son confident et son meilleur ami. A part le premier point, il a toujours rempli ses fonctions premières. Un grand lien s'était déjà tissé entre eux, qui s'est développé bien plus encore lors de la disparition du père McNelly. Miaouss a radicalement changé depuis, il se montre bien plus protecteur envers sa maîtresse qu'il ne l'avait été auparavant, au point d'évoluer de lui-même en Persian, sa volonté de protéger Lennon dépassant toute raison. Finalement, il a gagné et mérité sa place aux côtés de la jeune femme, si bien qu'il ne voyage plus dans sa pokéball: il la refuse, car sait-on jamais si un danger se présente.
PONYTA → Persian a longtemps été le seul compagnon de Lennon, mais celle-ci, passionnée de chevaux, a vite trouvé refuge chez un ami de son père, qui tenait un ranch où il élevait divers bovins. Là-bas, se trouvait une belle Galopa, qui avait toujours émerveillé Lennon. Alors que Miaouss en était encore à chasser les Ratatacs du ranch, l'adolescente se trouvait toujours derrière les pattes de cet homme, l'aidant à soigner et lustrer la belle jument de flammes. Puis cette jument attendit un petit, tentative de son maître pour préserver la race. Jour et nuit Lennon lui rendit visite, observant le déroulement de la gestation. Cet homme lui promit alors que le petit qui allait naître serait le sien, qu'elle le méritait amplement après toutes les épreuves qu'elle avait traversé et son attachement à la mère. Ponyta arriva très vite. Néanmoins, la jument resta chez l'éleveur, ce dernier souhaitant offrir un pokémon capable de la suivre dans sa future quête de dresseuse. A ses 16 ans, Lennon quitta la maison avec son Persian, fila chez Chen, refusa catégoriquement de prendre un starter, puisqu'elle possédait déjà Persian et un Ponyta qui allait venir compléter son équipe. L'heure du départ sonna, Lennon resta quelques jours chez l'ami de son père afin de préparer son Ponyta au voyage qui l'attendait. Les années ont passé, et Ponyta s'avère être un membre important de l'équipe de Lennon. Toujours appelée en première au combat, elle gravie vite les échelons et son niveau a rapidement progressé. Le lien qui l'unit à Lennon est fort, puissant, mais ce n'est pas la même chose qu'avec Persian. De plus, Ponyta est un moyen de locomotion très utile et concourt lors de courses, permettant à son éleveuse de gagner de quoi les faire vivre.
STAROSS → Lennon a toujours choisi la tactique à la quantité sur le choix de ses pokémons. Avec deux pokémons à quatre pattes, dont un de type normal et un autre de type feu, il a très vite fallu agrandir l'équipe si elle voulait continuer son chemin en tant que dresseuse. Toujours dans l'année de ses seize ans, elle s'est rendue à Carmin sur Mer afin de pouvoir attraper un pokemon de type aquatique, qui serait un fort atout. Elle a fait les côtés, à la recherche de Kraby et autres pokémons eau, finalement, ses yeux se sont posés sur un groupe d'étoiles géantes oranges, les Staris, où trônait au milieu d'eux un Staross. Voilà le pokémon qu'elle souhaitait. Néanmoins, sur les côtés, elle ne pouvait engager le combat. Elle revint les jours qui suivirent, espérant un changement, et chaque jour, elle nota qu'il manquait un Stari. Elle apprit par la suite que les Staris étaient en guerre face aux Krabys, ceux-ci les faisant fuir. Lennon ne pouvait laisser l'anarchie s'installa sur ces petites côtés et elle intervint en défiant le groupe de Kraby sur le sable. C'est la nature protectrice de Persian qui permit à Lennon de gagner les différents combats, Ponyta était très vite mise HS dû à son type de combat. En remerciement, Staross décida de rejoindre son équipe. Un grand respect lie le pokémon à sa propriétaire, et dès que la petite équipe passe sur Carmin, ils rendent visite au groupe de Stari, qui a alors énormément évolué en plusieurs années. Avec Staross dans l'équipe, Lennon pu enfin s'attaquer au match d'arènes pokémons, et elle réussit à gagner deux badges rien qu'avec son trio de choc dans l'année de ses 17 ans.
FEUFORÊVE → Il y a deux ans, Lennon en était encore à la course aux badges. Elle en détenait six, et un septième lui donnait grandement envie. Néanmoins, son adversaire, utilisant des pokémons spectres, eut raison d'elle à de nombreuses reprises. La jeune dresseuse se décida alors de capturer le plus de pokémons possibles, c'était déjà un miracle qu'avec seulement trois pokémons elle arrivait à en détenir autant. Mais cela ne suffit en rien à battre son adversaire, les pokémons combats qu'elle avait capturé restaient inefficaces.. Elle prit alors la décision de changer de région et d'attraper un pokémon psy à Johto. Sous les conseils de son frère, elle se rendit dans une forêt au beau milieu de la nuit, s'assit et se mit à méditer, Persian montant la garde. Des bruits de feuilles se firent entendre, puis des couinements. Elle ouvrit les yeux et découvrit stupéfaite une petite troupe de Feuforêves en face d'elle. Son âme de dresseuse lui fit engager le combat et c'est avec Ponyta qu'elle réussit à en attraper un. Il s'agissait ici de la toute première vraie capture pokémon de Lennon, les autres ayant tous décidé de l'accompagner sans réel combat. Fière, elle se représenta à l'arène de Safrania et défia à nouveau le champion. Avec les efforts combinés de Ponyta, Feuforêve et de Persian, elle prit très vite sa revanche. Et c'est aussi après cette victoire qu'elle se rendit compte qu'elle préférait avoir des pokémons qu'elle chérirait plutôt que des pokémons qui lui servirait uniquement pour les combats. Elle relâcha alors ses pokémons type combat et ne garda que son quatuor. Feuforêve reste néanmoins l'exception, car il reste sa première capture. C'est un peu le rigolo de la bande, qui aime faire peur à ses camarades et qui assurent la bonne ambiance dans l'équipe. Elle s'est très vite attachée à lui.
DRACO → Il y a deux ans déjà, Lennon avait pratiquement perdu foi en son rêve d'être dresseuse. Et durant ces deux dernières années, c'est avec un goût amer qu'elle combat: elle ne prend plus aucun plaisir. Elle préfère même partager des moments forts avec ses amis pokémons plutôt que les faire combattre. Et c'est sa rencontre magique avec Draco qui la fit prendre sa grande décision. En effet, il y a quelques semaines, Lennon prit part à une expédition sur la banquise loin derrière l'océan. Ce périple permit à la jeune femme de faire le tri dans sa vie, de peser le pour et le contre sur son envie d'être dresseuse. Puis vient le moment où elle part à la rencontre de ces pokémons de type glaces, ses préférés. Des otarias, des Lippoutous et autres Lokhlass émerveillèrent la jeune femme. Mais en même temps que cette expédition, un autre navire apparu: des braconniers. Avec l'aide de d'autres dresseurs pokémons, Lennon défendit la banquise et ses résidents jusqu'à ce que les pirates plient bagages. Derrière eux, ils laissèrent de nombreux filets que s'empressèrent d'enlever les touristes. Chanceuse, ou peut-être était-ce le destin, Lennon libéra ce drôle de pokémon, un espèce de doux serpentins des mers, à la voix angélique et à l'apparence gracieuse. Blessé, elle ramena cet étrange pokémon sur le navire où elle le maintint en vie jusqu'à ce qu'ils arrivent à Carmin, le centre pokémon le plus près. Des heures passées à son chevet, et déjà une grande relation s'est établi entre Draco et Lennon. Arriva enfin le moment de libérer ce doux animal, qui n'avait pas sa place aux côtés de la jeune femme. Ce dernier en décida autrement, et refusa de quitter le large, où il resta durant des jours, appelant Lennon chaque nuit. Et chaque nuit, elle retournait le voir, le contempler, laisser cette magie s'emparer d'elle chaque soir. L'évidence montra le bout de son nez: Draco voulait l'accompagner, la protéger et se faire son meilleur ami. En acceptant de le prendre avec elle, Lennon laissa derrière elle son ambition de devenir dresseuse. Combatte semblait désuet après cette rencontre. Ce qu'elle voulait maintenant, c'était se connecter aux pokémons, les comprendre, tous. Persian n'est pas ravi de la relation entre Draco et Lennon, tout comme Ponyta, les deux n'apprécient pas beaucoup le pokémon eau. Jaloux, ils se rendent comptes que cette nouvelle amitié fait revivre une flamme dans les yeux de leur maîtresse qu'ils n'avaient pas vu depuis longtemps. Eux aussi auraient aimé être la raison de ce nouveau rêve chez elle.
et mon histoire commence ici,
Et voici l'histoire de votre perso. Nous n'imposons pas de lignes minimum, ni de style particulier. Cela peut être sous forme de narration, de journal intime, d'anecdotes, ... Dites-en nous un max sur votre personnage, pourquoi il a voulu devenir éleveur, pourquoi il a fini à la team rocket, ... On veut tout savoir, on est curieux !
J'aime à penser qu'un jour je serai reconnue pour le métier que je fais et mes compétences en tant qu'éleveuse. J'ai envie d'être reconnue oui, et j'imagine que ce n'est pas un mal, si ? Voir ma tête dans des publicités sur les pokémons ou même être l'invitée de plateau télévisée pour parler de ma carrière, voilà ce que j'ai envie de faire plus tard: renvoyer la meilleure image de moi, être une source d'inspiration. Que les jeunes gardent espoir.
L'espoir, c'est quasiment ce qui me fait avancer. « L'espoir fait vivre » est une expression beaucoup moins ironique dans mon cas: je vis d'espoir et n'ait jamais cessé d'en vivre. Déjà toute petite l'espoir s'était glissé sur mon chemin: l'espoir d'être pour mes parents la meilleure fille du monde, chaleureuse et bienveillante en toute circonstance. Je ne suis peut-être pas la fille la plus chaleureuse nan, je suis vigilante d'où ma carapace un peu froide, mais j'ai été somme toute une bonne fille. Faut dire que j'ai eu l'image parfaite de la famille parfaite: un père et une mère aimants, un frère protecteur qui se plaça bien vite en modèle, et un petit frère avec qui je pouvais me chamailler. Avec une mère comme infirmière pokémon, j'ai toute de suite eu le petit déclic pour ses petites bêtes là, ces vraies peluches animées. C'est certainement de ma mère que je tiens ce goût raffiné pour les pokémons, c'est d'elle que je tiens ma tendresse envers eux. Et puis aussi de mon père, qui m'a offert mon premier compagnon: un Miaouss, qui, selon les dires de mon père, était censé me protéger à chaque minute de chaque jour. Au final, il a surtout été l'ami idéal pour une gamine, faisant des bêtises avec.
Ouais, dans mon autobiographie, plus tard, je pourrai me vanter d'avoir eu une famille soudée à mes débuts dans ce monde. Ça fait toujours bien de toute façon de présenter une version idyllique de sa vie d'enfant, afin de pouvoir embrayer sur ce qui a tout fait basculé. Un truc d'écrivain je vous dis.
Puisque ma vie a fini d'être rose et pétillante à mes 12 ans. Stupide voiture qui finit je ne sais trop où, partout, sauf sur la route où elle y avait normalement sa place. Excusez-moi si je me montre hésitante ou un peu confuse, c'est l'émotion. Je pourrai aussi dire ça dans mon livre, que l'émotion me fait écrire, et parfois m'empêche d'écrire justement. Pour faire court, et en essayant de me détacher un minimum de cette période, je me suis retrouvée sans père du jour au lendemain, et sans frère aussi, vous savez ce modèle, qui est parti lui-aussi sur son propre chemin. Finalement, il ne restait que ma mère, mon petit frère et moi. L'ambiance a la maison était des plus déplorables, et je dois l'avouer, j'y ai été pour beaucoup. Ingrate, peste sur les bords, je lui en ai fait voir de toutes les couleurs. J'ai changé oui, je peux le dire. Je passe de la fille coquette et mignonne à croquer avec son Miaouss, à une adolescente en pleine crise d'identité. Puis vient l'apparition de la conscience, qui vient vous dire que ce n'est pas bien ce que vous faîtes subir à votre mère. Et comme vous ne pouvez plus la voir, vous décidez alors de partir vous aussi sur votre propre chemin, comme votre frère. Mon Miaouss sous le bras, je suis partie dès mes seize ans. J'ai pas vraiment respecté le protocole, je voulais pas d'un Carapuce, d'un Salamèche ou d'un Bulbizarre, je voulais simplement mon Miaouss, qui au fur des années était devenu le protecteur que mon père avait toujours voulu qu'il soit. Peut-être attendri ou pas, le Professeur Chen s'est rangé de mon côté et j'ai pu partir à l'aventure.
L'aventure, c'est exactement ce qu'il faut à une fille perdue comme moi. On se retrouve sans repère, sans habitude, livré à soi-même, et ça fait du bien. Dresseuse je voulais être, et dresseuse j'allais devenir. Le combat, ça allait me mettre du plomb dans la cervelle, et les pokémons et leur découverte étaient ma priorité. En plusieurs années, je suis devenue une adversaire de taille, le Miaouss avait évolué en un Persian beaucoup plus imposant, et mon équipe était constitué de perles. J'avais toutes les qualités pour devenir une bonne dresseuse, voire une Championne, avec mon équipe, belle et rebelle, et mes sept badges.
C'est peut-être en approchant un peu trop de ce but, devenir une Dresseuse hors pair, approchant de plus en plus du tournoi, que je me suis rendue compte que je n'étais au final pas faîte pour ça. Mon sens du dressage, ma droiture et ma détermination semblaient pourtant tracer d'eux-même ma route vers le dressage. Puis j'en viens à considérer qu'il s'agissait surtout d'un moyen de me faire dire que j'aimais plus les pokémons que la compétition en elle-même. Et je l'avoue maintenant: je préfère les pokémons à la compétition en elle-même. En devenant dresseuse, voire plus tard championne, je perdais de vue ma ligne directrice: mes pokémons. Ma vie était faite de défis, de combats et d'acharnement sur l'adversaire. Or, je m'étais toujours jurée de penser aux pokémons et non à moi. Alors je me suis tournée vers le dressage il y a déjà quelques mois, après cette rencontre avec Draco. Je veux revenir là où j'avais encore tout à apprendre sur la vie et moi-même, cette période où mon existence était faite d'incertitudes, de curiosité et d'adoration de la nature.
Aujourd'hui je vois les choses plus clairement: j'ai été une bonne fille jusqu'à un moment donné, je veux redevenir proche de ma mère. Et de mes frères aussi, que je porte dans mon coeur même si je ne les vois plus aussi souvent. Et puis eux-aussi on leur vie. Je dois m'émanciper donc, d'où mon envie d'attraper chaque pokémon afin de les élever, et en faire des perles rares que chacun voudrait posséder. J'ai envie de faire plaisir oui, élever pour les autres et pour moi. Ça va redonner un bon sens à ma vie, me permettre de retrouver ma candeur. Et puis je trouverai peut-être un homme sur le chemin, ou peut-être deux, si le premier n'est finalement pas le bon. Ouais, j'ai envie de faire beaucoup de choses maintenant: élever, aimer, apparaître à la télé et parler de ma vie. Aider aussi, aider ceux qui se posent encore des questions sur eux et qui hésitent à partir à l'aventure.
C'est ce qui m'a sauvée moi en tout cas. Même s'il m'aura fallu des années pour m'en rendre compte.
et le pokéfan derrière l'écran?
pseudo ∞ oklahoma.
âge ∞ 18 ans.
région/pays ∞ Maine et Loire/France.
comment êtes-vous arrivé jusqu'ici ? ∞ Pub Bazzart.
votre avis sur le forum ? ∞ Très bien tenu, joli design, superbisimo *.*.
avatar ∞ Naya Rivera
personnage ∞ scénario de Sven W. McNelly
un dernier mot ? ∞ Juste un ?
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