ce qu'il faut savoir sur moi

nom ∞ Hale. prénoms ∞ Ophélia Ivy Silver. âge ∞ 21 ans profession ∞ dresseuse.ville natale ∞ l'ile argentée, Cramoi'lles région actuelle ∞ Kanto starter ∞ Salamèche, devenu Reptincelbadges ∞ deux. groupes ∞ dresseur.qualités ∞ intelligente, téméraire, courageuse, ambitieuse, observatrice, agile, rusée, débrouillarde, déterminée, persévérante, directe, méthodique, douce, joueuse, curieuse, souriante, entreprenante, attentive. défauts ∞ dormeuse, impatiente, boudeuse, séductrice, méfiante, gourmande, impulsive, jalouse, manipulatrice, rêveuse, sadique, distante, moqueuse, casse-cou, sensible.

passe ta souris sur eux.

Reptincel ♂ - 23

Ponyta ♀ - 15

Goupix ♂ - 5

]

informations sur mes pokémons

REPTINCEL → Son starter. Il est particulièrement malicieux et boudeur. Elle est certaine que ça vienne du fait qu'il a été pendant longtemps, son seul pokémon. Ophélia, a gardé plusieurs marques de ces écarts , elle a quelques griffures sur les bras qui sont aujourd’hui, de fines cicatrices, peu visible à l’œil nu. Elle s'est aussi, souvent brûler la main. Il sait être sage lorsqu'il sait que c'est la condition pour qu'Ophélia le laisse hors de sa pokéball.
PONYTA → Ponyta est le pokémon qu'elle a eu le plus de mal à attraper. Elle a toujours voulu en avoir un. Elle a explosé de joie quand elle a réussi à la capturer, après plusieurs tentatives. Elle a souvent besoin de galoper, si elle ne le fait pas, elle peut devenir violente. Elle l'admire et l'effraie en même temps.
GOUPIX → Goupix est son petit bébé, le dernier qui a complété son équipe de pokémons. Elle y veille comme sur la prunelle de ses yeux étant donné qu’il est plutôt jeune et encore d’un niveau trop peu élevé pour affronter les autres. Elle l’a attrapé du premier coup. Elle est très fière d’avoir dans son équipe, un pokémon qui était autrefois considéré comme un légendaire étant donné sa grande beauté.

et mon histoire commence ici,

Si vous trouvez ce carnet,
Merci d'appeler le 0800 856 573 025.

Je suis Ophélia Ivy Silver Hale,16 ans. Avant d'en apprendre plus sur moi et de comprendre la complexité de mon petit-être emplie de sarcasme et de superficialité, je vais vous parler de ma famille. Ma famille n'est rien d'autre pour moi, qu'un ensemble de personne, dénué d'ambition et de caractère. Ce sont des crétins finis perdus dans la grande monotonie des jours, qui ne font rien de leurs journées à part rester visser au fond de leur canapé. Je les aime, même si parfois, je me demande si nous avons véritablement le même sang qui coule dans nos veines. Bienvenue dans mon monde, petit lecteur indiscret.
Amber Hale. Ma grande soeur. Heureusement pour elle, que l'âge n'est une question de nombre et non de taille. Première née de la fratrie, tout le monde à du mal à croire qu'elle est plus âgée que moi de quatre ans. Elle est tellement petite, qu'on la prends encore pour une pré-adolescente et son caractère n'arrange rien. Elle est pathétique. Elle se prend pour une icône, un modèle à suivre, alors qu'elle n'est de que la sombre reproduction de notre mère. En réalité, c'est un mythomane en puissance, elle est prête à tout pour attirer l'attention des gens. Le mensonge est son élément. Elle ne se rends pas compte, qu'en se tailladant les poignets pour s'inventer une vie qu'elle n'a pas vécue , les gens ont plus pitié d'elle qu'autre choses. Elle se pavane avec ses pokémons comme si ils étaient des chiens, elle croit qu'on l'admire. Ma soeur est son égo surdimensionnée, c'est toute une histoire. Je pourrais continuer mais ce n'est pas la sienne.
Lester Hale. Mon grand-frère. Il est bien, l'un des seuls, que je suis fière de compter dans les membres de ma famille. Deux ans, nous sépare, 648 jours, ce n'est pas grand-chose et pourtant, c'est suffisant pour nous. Je n'irais pas jusqu'à dire que je lui voue un culte, ce serait rabaissé ma propre personne. Il est le seul de la famille -avec moi- à avoir été piqué par le fameux virus de l'ambition, ce même trait de caractère quine s'est pas imprimé sur les gènes de tous les autres. Je l'admire autant que je le déteste. Il a toujours été mon principal allié mais, surtout mon plus redoutable adversaire.Il a toujours été très jaloux et toqué ce qui justifie peut-être du vocabulaire exécrable qu'il ne peut s'empêcher d''employer? Car voyez-vous, monsieur Lester, ou plutôt M. Monde comme je le surnomme et le seul garçon de la fratrie, il aime être traité comme un roi et il l'est, par tout le monde, excepté moi. Je refuse de rentrer dans son jeu et, encore une fois, ce serait me dévaloriser. Il est infâme en somme et ne se venge même pas sur moi mais, sur mes pokémons ... Un brin lâche, mon frère, vous croyez ?
La dernière à avoir rejoint les rangs de notre famille complément barrée, c'est ma petite soeur -oui, encore une soeur, et pas la moindre-, Eden. La petite princesse est perdue dans une quête désespérée d'identité. Elle est tellement effacée et douce, que cela m'exaspère, c'est pourtant celle dont je supporte le mieux la compagnie, quand elle n'ouvre pas la bouche, car voyez-vous c'est le genre de fille qui dit « c'est merveilleux de vivre pour donner la vie. ». Pour moi, les enfants, ce ne sont que des boîtes à caca qui hurle quand elle est contrariée, qui colle et qui bave.
Mon père est un phénomène curieux, presque indescriptible mais, je vais quand même essayer d'en parler. Mon père est le stéréotype même d'un marin-pêcheur reconverti. Bourru et ventripotent, il essaye de transmettre à ses enfants sa passion pour la pêche -sans succès- mais qui n'hésite pas à afficher sa splendeur passer sur tous les murs du salon. Il aurait pu avoir un bel avenir de ranger pokemon, quel gâchis! Paternellement parlant, j'aurais aimé que mon père soit un peu moins castrateur et simpliste. En effet, il ramène toujours tout à ... devinez quoi ? La pêche, encore et toujours, il ne vit que pour ça ou à lui-même. Je sais que je tiens mon égoïsme de lui ...
Quant à ma mère, je me dis que c'est une brave femme, elle a le courage de vivre avec une bande de gosses plus timbrés les uns que les autres, mais elle ne se plaint pas. Sa vie est un long fleuve tranquille et à 40 ans, elle semble être à l'apogée de son bonheur. Un peu plus et elle me donnerait envie de vomir, elle est toujours là et là en train de dispenser des bonnes paroles, comme si, elle était le retransmetteur de la parole divine. Elle m'agace mais m'apaise car, je me dis que sur cette terre, il y a finalement bien pire que moi.
J'ai hâte de partir, à l'aventure. Plus que deux semaines.

Bourg-Palette, Laboratoire du Professeur Chen, Région de Kanto.
La jeune adolescente était entrée dans ce laboratoire, d'un pas assuré. C'est une initiation que beaucoup de gens redoutaient. Le début d'une nouvelle vie. Pas elle. Elle était à vrai dire, ravie, d'avoir enfin quitté l'île argentée, sur laquelle elle avait toujours vécu. Elle était ambitieuse, elle-même n'hésitait pas à le dire. Elle voulait toujours faire mieux, rien ne la satisfaisait jamais. Elle avait le sang chaud et l'envie de se hisser plus haut, pas à pas. Elle avait hérité de l'arrivisme de tous ces aïeuls qui n'en avaient pas eu, une once. Sa famille s'était installée sur l'île argentée pour permettre au père de poursuivre son métier de pêcheur dans cette petite communauté qui y vivait déjà. Elle n'avait jamais compris pourquoi, il avait choisi cette reconversion professionnelle peu gratifiante. Mais, son père n'était pas elle. « Bonjour, je suis Ophélia Hale » salua-t-elle poliment le vieil homme qu'elle savait être le professeur. Il était vêtu d'une longue blouse blanche, typique des scientifiques. « Ophélia Hale. Je t'attendais. Je suis le professeur Chen. » se présenta-il à son tour. Elle esquissa un léger sourire. Tout le connaissait, son frère qui avait débuté son aventure, trois ans auparavant, n'avait jamais cessé de lui raconter ce moment. C'était un moment crucial dans la vie de tous les dresseurs qui se respectaient. Le choix. Il lui montra trois pokéball du doigt. Salamèche, Carapuce ou Bulbizarre. Elle se mordit la lèvre, hésitante. Elle lança un rapide coup d'oeil au professeur, avant de se concentrer de nouveau sur les trois Pokémons. Son frère, avait choisi Carapuce. Elle, elle savait qu'elle voulait autre chose qu'un pokémon eau, elle avait vécu autour, toute son enfance. « J'aime jouer avec le feu. Je vais prendre Salamèche. » se décida-elle après quelques minutes de réflexion. Type feu. Cela allait devenir sa spécialité, comme la championne de Cramois'lle. Peut-être, un jour aller-elle la détrôner ? La battre et gagner le badge, serait déjà un bon début. « Ton aventure commence. Bonne chance. » conclut-il en lui tendant la pokéball contenant Salamèche. Elle glissa la pokéball dans son sac et partit.

Je ne comprends toujours pas pourquoi, je noircis les pages de ce cahier. Je n'ai rien à dire. Peut-être que je serais célèbre dans le monde, ce journal aura-il de la valeur mais, en attendant, il n'est que le résumé de mes plaintes. J'ai changé de plan. J'ai décidé de partir à mes dix-huit ans, plus rien ni personne ne pourra m'en empêcher. Je serai libre de poursuivre ma route, mes parents ne pourront plus me poser des barrières. J'étais énervée quand ils m'ont dit qu'ils ne voulaient pas me voir partir avant deux ans. J'aurais pu leur désobéir, j'en avais officiellement le droit mais, pour une obscure raison, je suis restée. Peut-être quand j'ai compris, qu'il serait plus avantageux, pour moi de partir à l'aventure avec mon Salamèche, un minimum entraîné Choix judicieux mais, que j'ai légèrement regretté. Tout le monde me déteste, j'ai choisi un pokémon feu, sur une île de pêcheur, où, il n'y avait quasiment que des pokémons eau. Je le vis plutôt bien. J'aime que l'on me déteste. C'est plus facile que de m'aimer.

Ile Argentée, Maison des Hale, Région de Kanto.
Ophélia était la risée de tous sur l’île depuis qu’elle était revenue du continent avec un pokémon de type feu. On se moquait et riait de son choix. Quelle étrange idée disaient-ils ou encore, ce n’est pas la digne fille de son père. Ce genre de remarques la blessait autant qu’elle l’énervait. Elle ne sortait plus de chez elle, ou uniquement pour entraîner son petit protégé. Elle avait été surprise à la vitesse à laquelle, elle s’y était attachée. C’était comme une peluche mais vivante. Elle protégeait comme la prunelle de ses yeux, ne supportant pas qu’on lui fasse le moindre mal. Son frère de retour, chez eux, pour quelques jours, avec sa horde de Pokémon eau, fit irruption dans sa chambre « Ton Salamèche a brûlé toutes mes lettres ! » s’indigna-t-il alors qu’il tenait les résidus des lettres dans sa main gauche. Il était furieux. « Hé ho calme toi monsieur monde » s’énerva à son tour Ophélia, en se faisant face à son frère, même, s’il la dépassait largement. « Il n’y a que lui ici, qui puisse mettre le feu ! » continua-t-il sur le même ton. « Il n’y a pas que lui qui puisse mettre le feu, sale inculte. Je ne m’excuserais pas pour quelques choses qu’il n’a pas fait. » répliqua-t-elle au taquet. « Si tu ne te casses pas tout de suite de ma chambre. Il va vraiment te brûler quelques choses et ce ne sera certainement pas tes lettres. » le menaça-t-elle, en lui désignant du doigt la sortie de sa chambre. Il obtempéra et sortit en fulminant. Quelques minutes plus tard, son père entrait dans chambre en déposant, sur son petit bureau, une canne à pêche. « On va à la pêche ! » annonça-t-il d’un ton jovial, qui lui était habituel. « Non. Papa, je pars. » annonça-t-elle alors qu’elle venait juste de prendre cette décision. Elle prit son sac, à côté de son lit, qui était prêt depuis des semaines, Salamèche à sa suite. Elle sortit de chez elle, sans se retourner. Abandonnant son journal, sur le sol de sa chambre.

et le pokéfan derrière l'écran?

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