nom ∞ ackerley. prénoms ∞ eddard, archimède. âge ∞ vingt-cinq ans. profession ∞ membre de la team rocket (sbire). ville natale ∞ irisia. région actuelle ∞ johto. starter ∞ il a débuté sa toute première aventure en compagnie de son fidèle fantominus. badges ∞ il n'en détient qu'un seul pour le moment, souvenir de ses débuts en tant que dresseur. groupe ∞ team rocket. qualités ∞ avenant, serein, franc, déterminé, doué, tolérant, persévérant, ouvert, expressif, confiant, passionné, travailleur. défauts ∞ dur, cynique, impulsif, dominant, insolent, orgueilleux, trop ambitieux, sans remords, indépendant. autre chose ∞ ses parents sont actuellement emprisonnés à vie dans une prison de Johto qui lui est inconnue pour de nombreux chefs d'accusation..

SPECTRUM → Entre eux deux, c'est une communion. Côte à côte depuis leur plus tendre enfance, le pokémon et le dresseur sont devenus au fil du temps quasi-inséparables et ce, malgré des débuts houleux. Une véritable complicité a su naître entre eux deux. De ce fait, Eddard le préfère à ses autres pokémons, sans tellement se rendre compte du favoritisme qu'il exerce. Il faut dire que Fantominus, à présent Spectrum, fut le seul et unique cadeau qu'il reçut de ses parents. En dehors de l'amitié qui les lie, la présence de ce pokémon à ses côtés est donc essentiellement symbolique. Cela fait d'ailleurs bien longtemps que Spectrum a quitté sa pokéball pour assister son maître en toutes circonstances et l'accompagner dans chacune de ses aventures. Tout d'abord contrarié, Eddard a finalement considéré ce fait comme une opportunité unique de construire une relation d'autant plus forte. Ainsi, la confiance qui les unit se fait très bien ressentir durant leurs combats. Spectrum étant généralement le premier pokémon qu'Eddard envoie sur le terrain, son efficacité n'en est que plus grande encore, puisqu'il n'a alors qu'une envie : celle de contenter son maître. En effet, c'est aussi le caractère persévérant, borné et envieux de reconnaissance du pokémon qui a, dès son plus jeune âge, plu à Eddard. Les deux amis partagent la même vision du monde et, plus encore que les années qu'ils ont passé ensemble, c'est avant tout cela qui les lie aujourd'hui.
ARBOK → Jusqu'à l'arrivée d'Abra, Arbok, premier pokémon capturé d'Eddard, a toujours été l'élément perturbateur du groupe. Tout d'abord, la femelle ne se laissa pas capturer du premier coup et rechigna à rejoindre l'équipe d'Eddard, même une fois dans la pokéball. Dès que celui-ci lui donnait l'occasion de sortir, Arbok fuyait le combat et tentait par la même occasion de regagner son chez-soi. La présence d'Arbok est très vite devenue insupportable. Aussi, Eddard a commencé à l'entraîner et ne lui a pas laissé le choix. En l'opposant directement à Spectrum, le dresseur l'a poussé à se dépasser et, plus que tout, à obéir. A force de séances d'entraînement musclées qui n'ont pas fait l'unanimité auprès des autres dresseurs qu'Eddard a pu côtoyer, Arbok a fini par se plier. Il s'est habitué au nouvel environnement qui lui était offert et s'est intégré à l'équipe comme élément essentiel au fil du temps. Néanmoins, depuis l'arrivée d'Abra, Arbok se reconnait un peu en lui et tient à lui témoigner un soutien indéfectible, alors que Spectrum et leur maître se battent pour que le nouveau se soumette.
ABRA → La relation entre le maître et son pokémon est pour le moins électrique. Tout récemment arrivé dans l'équipe, Abra est en réalité le premier pokémon à être issu d'un vol. Eddard l'a en effet dérobé lors d'une précédente descente discrète dans un centre pokémon de la région de Johto. Si le jeune Abra n'a pas le moindre souvenir de son ancien dresseur, son caractère joueur et enfantin est toutefois loin de plaire à Eddard qui n'hésite à pas le réprimander sévèrement. L'homme est d'autant plus frustré de son acquisition car, le pokémon étant trop peu expérimenté, il ne peut lui faire endurer des entraînements trop poussés, remettant ainsi en cause son potentiel de puissance. De plus, Abra n'hésite pas à sortir de sa pokéball quand bon lui chante, et de ce fait, il s'attire non seulement les foudres de son maître mais également celles de Spectrum, dont il s'agissait jusqu'à présent du privilège attitré. Seul Arbok semble lui témoigner un peu de considération. Instinct maternel, paraîtrait-il.

Un temps passe. « Et Papa, où est-il ? » La femme me regarde, les yeux endormis, faisant preuve de toute la patience dont elle est capable. « Il est avec Maman. » C'est bien beau. Mais ça ne me suffit pas. J'insiste, à son plus grand malheur. « Mais Maman, où est-elle déjà ? » Je fixe ses yeux, l'air innocent. Mes chevilles tremblent, mes dents s'entrechoquent. Malgré la large couverture qui m'a été étendue jusqu'à mon cou, j'ai froid. Non seulement, l'hiver sévit, mais en plus, la peur me noue le ventre. Je ne veux pas rester avec cette dame, même si elle gentille, même si elle m'offre des friandises et même si son psykokwak est trop rigolo. J'ai sept ans à peine et j'ai besoin de mes parents. Je les réclame sans cesse mais rien ne change. Helene me regarde, d'un air exaspéré, la compassion laissant la place à l'épuisement. J'ai d'abord peur qu'elle me gronde et qu'elle me laisse seul dans le noir. Mais son visage finit par s'adoucir. « Chuuut, me dit-elle. Ils reviendront bientôt. » Malgré mon inquiétude, cela suffit à me faire céder. A demi rassuré, je lui esquisse un sourire timide. Elle me le renvoie et, lâchant ma main, se lève. D'un regard insistant, je la supplie de rester encore un peu. « Allons, bon, mon garçon. Tu es un grand à présent. Tu peux bien affronter la nuit tout seul. » Le reproche, même dissimulé, parvient à mes oreilles et je sens mes joues s'empourprer de honte. J'hésite à lui répondre, ne sachant que dire. J'attends un instant, en profonde réflexion à cette heure si avancée. Puis, apercevant les traits rieurs d'Helene dans la pénombre, je comprends soudain où elle veut en venir. « Je peux, lui répondis-je. Mais j'ai tout de même ce cher Fantominus. » Son sourire s'élargit. « Et ? » Encouragé de la sorte, trop heureux de connaître la suite, je continue avec enthousiasme : « Et les Fantominus ne craignent pas la nuit. » Je ris aux éclats, d'une voie cristalline. Et, voyant les traits illuminés d'Helene, je lui offre ma plus belle des risettes. Mais Fantominus, répondant à son appel, émerge déjà des draps. « Fantominus, approuve-t-il. » Ayant presque oublié mon tracas, je vais pour l'enlacer lorsque, fuyant mon étreinte, son corps gazeux me traverse. Humilié de la sorte, j'arbore une mine dégoûtée, sous les rires de Helene et le sourire vicieux du pokémon. Enfin calmée, la femme m'adresse un dernier regard et finit par éteindre la lumière. Mais, l'esprit pourtant purgé de toute inquiétude, je ne peux m'empêcher de déceler une expression qui passe, juste l'espace d'un instant, sur le visage d'Helene. Un sentiment étrange me prend alors. Je ne sais vraiment pas de quoi il s'agit. « Fantominus, tente de me rassurer le pokémon. » Dans les ténèbres du soir, je lui adresse un "bonne nuit" faible et décontenancé, en proie à des doutes soudains. Et, une heure durant, je peine à m'endormir, avec cette seule idée en tête. Cette affreuse chose qui passa, ce soir-là, sur les saillantes pommettes d'Helene, je l'appris plus tard à mes dépens, c'était du désespoir.

La jeune fille grimpe, agile, sous mes yeux impressionnés. « Eleanor, descends tout de suite. » Sa mère la réprimande sévèrement mais la belle n'en a cure. « Viens, me crie-t-elle. » Ni une, ni deux, je la suis. Sans discuter, sans parlementer. Je la suis parce qu'elle me l'ordonne et parce que, émerveillé, je ne désire qu'une chose : savoir jusqu'où elle pourrait aller. Helena m'importe peu, et ses hurlements encore moins. Je n'imagine pas tout le mal que je peux lui causer en cet instant, j'ai simplement soif d'aventures. Et Eleanor s'apprête à l'étancher. Alors, je la suis. Impulsivement. Calant mes mains à la roche, je me mets à escalader sans réfléchir. La jolie brune a déjà atteint le sommet de la falaise. « Dépêche-toi ou Psykokwak va y rester ! » J'ai envie de lui crier d'y aller seule. Mais je ne peux m'y résigner. La gloire lui reviendrait à elle seule. J'entends la faible voix d'Helene, tout en bas. « Reviens, Eleanor. Attends l'arrivée des rangers. » Et cela achève de me convaincre. Fantominus sur mes talons, je continue l'ascension du flanc de la montagne, tâchant de faire attention à ne pas tomber dans le vide. « Attends-moi ! J'arrive. » Elle n'a pas le temps de me répondre que Fantominus acquiesce déjà « Fantominus » et qu'Helene hurle, en haussant le ton « Non ! Reste là, toi aussi. » Enivré d'un étrange sentiment, je finis par me porter moi-aussi jusqu'au sommet. Là, j'y découvre Eleanor, resplendissante, visiblement heureuse de m'avoir battu, et la mine pitoyable de Psykokwak. « Psykokwak » Quel abruti. Comment a-t-il fait pour se retrouver là ? Grand mystère de la vie. Encore à moitié dans le vide, je tente de me hisser complètement sur la terre ferme. Or, à l'instant même où ma main droite prend pour prise une petite pierre semi-enterrée, celle-ci cède. Avant même de réaliser que je m'apprête à choir, le cri, étouffé par l'altitude, d'Helene parvient à mes oreilles. Mais la peur n'a pas le temps de m'envahir que la main délicate et froide d'Eleanor me saisit et me remonte, sous les glapissements de bonheur du Psykokwak. « Ne me remercie pas, fit-elle. C'est mon métier de sauver les gens. » Remis de mes émotions, je lui souris tendrement. « Alors c'est décidé ? Tu seras ranger ? » Elle ne répond pas tout de suite. Elle semble réfléchir un long instant, puis ouvre son sac. « J'espère. Et toi, qu'est-ce que tu feras ? » Alors qu'elle en extirpe la corde de rappel et qu'elle saisit Psykokwak, malgré ses supplications geignardes, sous son bras, Eleanor me regarde fixement dans les yeux. Je lui réponds du tac-au-tac, sans aucune réflexion, comme si cette option semble la seule, la plus légitime : « Dresseur. Je veux faire dresseur. »

Je regarde Helene s'affairer une dernière fois pour mon petit bonheur. Elle vérifie minutieusement et cinquante fois le contenu de mon sac à dos. Puis elle demande inlassablement à Spectrum s'il a suffisamment mangé, allant même jusqu'à lui faire avaler de force quelques pokéblocs supplémentaires. Mon regard exaspéré croise celui d'Eleanor. Elle semble amusé et j'avoue ne pas comprendre pourquoi. S'attarder tant ne signifie rien. Les adieux n'en seront que plus déchirants encore. Helene finit par se tourner vers moi. Un long temps passe. Elle me sourit d'un sourire souriant. Simple. Ni désolé, ni ravi. Elle m'embrasse et se retourne. Et c'est tout. Je la regarde, presque étonné, puis je comprends. Elle sait qu'elle me reverra bientôt. Elle sait que je reviendrai dès que possible. Elle sait que je ferai tout pour ça. Avec Eleanor, c'est autre chose. Autrement plus dur, autrement plus différent. On se promet de ne jamais se quitter, de s'écrire, de se tenir au courant. On se promet même de combattre l'un contre l'autre ou de travailler ensemble un moment donné. Les adieux avec Psykokwkak, quant à eux, sont brefs et sans larme coulée. Je pense que ce pokémon est juste affreux. Et puis je pars. Sans me retourner.

"Chère Helene, ne montre pas cette lettre à Eleanor, je t'en supplie. J'irai droit au but : je ne reviendrai pas dans deux semaines. Je ne reviendrai pas du tout. L'on m'a donné la chance de montrer ce que je valais vraiment, et je compte bien la saisir. C'est un fait : être dresseur n'est pas fait pour moi. J'ai trouvé une voie ô combien plus ambitieuse. Ce que tu t'es efforcée de me cacher pendant des années (mais sache que je ne t'en voudrais jamais pour cela), quelqu'un me l'a dévoilé il y a quelques temps. Je ne l'ai d'abord pas cru. J'ai pesé le pour et le contre, il m'en a laissé le temps. Et j'ai dit oui. Aussi simplement que cela. Je m'apprête à faire ce que mes parents ont fait toute leur vie et j'espère en être digne. Je sais que tu seras fâchée mais c'est mon choix. Mon choix le plus strict. Je n'ai jamais pu les avoir auprès de moi, mais j'espère qu'ils seront fiers de leur fils, depuis leur cellule. Oui, je sais aussi qu'ils sont en prison. Je sais qui ils étaient, désormais. Et j'espère devenir aussi puissant qu'ils l'étaient à leur apogée. Ne sois pas fâchée, je t'en prie. Et n'en parle pas à Eleanor. Embrasse l'affreux Psykokwak pour moi. Bises." Je lâche le stylo. Je pense que c'est assez explicite. Elle m'en voudra, quoique j'écrive désormais. Mais elle doit comprendre. Et si elle ne peut, c'est qu'elle ne tient pas réellement à moi. Nous verrons. Nous verrons bien.

L'épreuve commence maintenant. Je m'y suis longtemps préparé auparavant. Il s'agit de ne pas faire d'erreur, de tout exécuter dans les moindres détails. Maintenant, il suffit de montrer de quoi je suis capable. La pression est d'autant plus forte, cependant, à cause du nom que je porte. Je suis loin d'être le premier Ackerley a tenté d'entrer dans la Team Rocket. Et nombre de ceux qui ont tenté ont réussi. Il suffit d'en faire partie. Rien de plus. Et pourtant, la boule au ventre demeure. Mon partenaire ne parle pas. C'est une femme, c'est tout ce que je sais. Je ne lui ai pas encore parlé mais je ne sais pas si elle a vraiment envie que j'entame la conversation. Je m'en contrefiche, à vrai dire. Le vrai problème est celui qui se présente devant moi : la réussite. La pression est forte. Trop forte. J'essaie de réguler mon pouls, de respirer amplement, de purger mon esprit du moindre tracas. Mais rien n'y fait. L'on dit que le stress est une bonne chance, que l'on a plus de chance de rater totalement un projet si l'angoisse n'est pas présente. J'espère que c'est vrai. Je l'espère de tout mon coeur. Le défi est là, à présent. D'autant plus important parce qu'il va à l'encontre de mes idéaux. Vais-je réussir ? J'en doute. Et si ce n'est pas le cas ? Si je ne parviens pas à dérober ce foutu pokémon, comment vont-ils l'interpréter ? Comme un manque de cran, assurément. Il me faut aller au-delà de mes principes. Du moins pour cette fois. La première et l'unique fois. Après, nous aviserons. Une fois à l'intérieur, la négociation est plus simple. Mais en attendant, il faut d'abord y pénétrer. Au diable mes idéaux, je volerai ce pokémon et je le garderai, s'ils m'en donnent l'occasion. Le garder serait un compromis. Le voler, c'est une faute. Le savoir maltraité par la suite, c'en est une autre. Je ne le supporterais pas. Oui, je le garderai, c'est le mieux. L'intégration, tout d'abord. Ensuite, nous verrons. Oui, c'est le mieux. Le mieux qui puisse m'arriver. Il faut que je pense aux bons côtés. Uniquement aux bons côtés. La réussite. Le pouvoir. L'argent. L'implication. Et la fierté. Oh oui, plus que tout : la fierté de mes parents.

pseudo ∞ mercury riot. âge ∞ quinze ans. région/pays ∞ midi-pyrénées. comment êtes-vous arrivé jusqu'ici ? ∞ bazzart, bien sûr. votre avis sur le forum ? ∞ il est terriiiiiiiiiible. avatar ∞ sean o'pry. personnage ∞ inventé. un dernier mot ? ∞ vive les canartichos.

Que dire sinon que j'adore tes personnages toujours si bien travaillés? ** Maiis j'te boude puisque t'as pas pris Claflin

Tu es désormais validé(e) sur PKM - THE POWER OF ONE, mais l'aventure ne fait que commencer ! Tu as encore plein de choses qui t'attendent, à toi de les découvrir. Pour t'aider, sache déjà que tu devrais venir faire recenser ton avatar officiellement sur le bottin. Ensuite, une partie très importante et non pas la moindre ! Tu vas devoir entamer la construction de ton Pokédex. Mais avant de poster, tu as de la lecture ! Viens lire ce sujet pour tout savoir sur l'élaboration du Pokédex. Ensuite, tu devras prendre le modèle du Pokédex. Il n'est pas obligatoire, mais vivement conseillé pour t'y habituer. Tu pourras le personnaliser à ta guise quand tu y seras plus familiarisé. Après tout ça, tu pourras te faire si tu veux, un registre pour tes liens, mais il faudra le tenir à jour et non pas le délaisser pour en faire un flood. Nous serons intransigeantes sur ce point pour le bien du forum Tu auras également la possibilité de te faire un autre registre pour tes topics si tu le veux. D'autre part, tu devras forcément jeter un coup d'oeil dans les registres pour savoir si tu dois faire recenser des informations sur toi Tu pourras aller faire quelques achats dans la boutique PKM du forum pour y dépenser ton argent, avec modération ! Ne dépense pas tout, sait-on jamais. Le flood sera grand ouvert pour toi et pour que tu puisses t'adapter et t'intégrer pleinement sur le forum (sans délaisser le rp ) la CHATBOX est également disponible en ouvrant la pokéball sur le côté gauche du forum. De la bonne humeur garantie alors viens parler un peu ! Cette partie doit être surveillée également car importante alors ne l'oublie pas ! Tu auras plein de choses à découvrir aussi et enfin, si tu as quelques soucis, des questions, n'hésites pas à contacter un membre de l'équipe administrative pour te guider. Voilà, c'est tout, alors lance-toi dans l'aventure des pokémons, tu verras, tu ne pourras plus t'en défaire, à bientôt, pour de grandes aventures

Pour bien démarrer l'aventure, tu obtiens avec ta validation, les éléments suivants que tu devras recenser dans ton Pokédex. Les objets diffèrent en fonction du groupe que tu as choisis de rejoindre :

→ 3000$ pokédollars pour bien débuter.
→ une tenue noire des sbires de la Rocket.
→ 5 superballs
→ 2 guérisons.

Fais en bon usage